Analogie de formes, dialogue entre un galet du Pays de Caux et "Le vielleur" de Georges de la Tour.Sur cette carte postale ancienne le tableau est encore attribué à Juan Rizi. L'oeuvre est pour ainsi dire passée de mains en mains, puisque successivement donnée pour étant de Murillo, Ribera, Zurbaran, Herrera, Maino pour l'école espagnole ou à l'Italien Strozzi ! Le conservateur du musée des Beaux-Arts de Nantes authentifia la toile comme étant de Rizi en 1935, ayant identifié sa signature. Il sera le seul a avoir eu cette vision alors qu'elle était déjà rendue à de la Tour dès 1931, aujourd'hui universellement reconnue comme telle et considérée comme l'un de ses chefs-d'oeuvre ! Risible.Nous donnons notre propre interprétation de cette pierre figurée :"le caillou vagabond,limé couturé par l'embrunveut gravir les degrés prendre figurefaire éclore sur sa face camuseune bête qui brameun philosophe qui bougonneun saint qui se taitun dieu qui souffre et qui meurt", Jean TardieuJoueur de vielle au visage suppliciéCondamné à tourner sa roue de toute éternité...Le tableau représentatif du réalisme lorrain rejoint l'art visionnaire.
Lire la suite...
Commentaires