Merci Eve pour ton commentaire auquel j'adhère totalement.
Au fond cette photographie me semble réussie parcequ'elle raconte une histoire et parcequ'elle dit le visage de l'intérieur : elle a saisi son "ombre" au sens contenu dans "La femme sans ombre". Sans cette ombre, le corps, le visage sont morts (ils ne sont plus qu'objet).
Irresistiblement, le visage de ce vieil antiquaire a attiré mon regard. Il semblait tout droit sorti d'un tableau de Zurbaran, de Vélasquez ou d'El Greco, avec son cache-nez pour frise. Il m'a raconté une histoire lointaine...dans laquelle Paul Léautaud coudoyait les Grands d'Espagne...!!
Commentaires
Merci Eve pour ton commentaire auquel j'adhère totalement.
Au fond cette photographie me semble réussie parcequ'elle raconte une histoire et parcequ'elle dit le visage de l'intérieur : elle a saisi son "ombre" au sens contenu dans "La femme sans ombre". Sans cette ombre, le corps, le visage sont morts (ils ne sont plus qu'objet).
Barcelone, février 2011
Irresistiblement, le visage de ce vieil antiquaire a attiré mon regard. Il semblait tout droit sorti d'un tableau de Zurbaran, de Vélasquez ou d'El Greco, avec son cache-nez pour frise. Il m'a raconté une histoire lointaine...dans laquelle Paul Léautaud coudoyait les Grands d'Espagne...!!