Et voilà quelques heures de travail pour ma chère fille Lysiane qui crée un coin lecture pour ses élèves de 4e primaire... Une détente dont j'avais besoin pour calmer l'angoisse que l'actualité me fait vivre. L'art est parfois aussi refuge.50cm x120cm, pastel sec et Posca sur châssis toilé
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Qui peut mieux qu’un Jeannot Lapin (1904) d’Helen Beatrix Potter (1866-1943) pour conter les aventures de son égo, le lièvre Bugs Bunny(1940) ? Belle image, où la pile de livres de contes symbolise le trône du roi civet. Alger, le 25 mars 2020. Louhal Nourreddine
J'arrive à positiver, c'est vrai. A notre âge, pas toujours sage, alors qu'il devrait (?) l'être, nous avons accumulé tellement d'expérience et de situations, que je me dis" comment est-il possible de vivre cela ?
Nous avons été élevé, les gens de ma génération après-guerre, dans le climat anxiogène, la guerre froide. Puis nous avons eu le nucléaire, et le sida, bref, on a tout vécu, enfin, on le pensait.
Le climat gretien ( désolée, j'invente des mots) paraît maintenant bien dérisoire alors que nous passons en mode "survie".
Oui, dessinons, lisons et rêvons à un monde meilleur.
Oui Liliane, "il était une fois un méchant virus..." qui a fait basculer le vaste et si glorieux monde. Restons optimiste malgré la menace, protégeons nous; j'ai lu votre angoisse dans d'autres lignes et je vous adresse toutes mes meilleures pensées.
L"'art-refuge", quel qu'il soit, nous permet de faire diversion, alors rêvons, dessinons et ne pensons pas trop.
Une consolation, une fenêtre ouverte, une possibilité d'évasion. Sur chevalet, sur un lutrin, ou bien calé dans un fauteuil heureusement il nous reste les livres, l'art, le conte et le rêve.
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Qui peut mieux qu’un Jeannot Lapin (1904) d’Helen Beatrix Potter (1866-1943) pour conter les aventures de son égo, le lièvre Bugs Bunny(1940) ? Belle image, où la pile de livres de contes symbolise le trône du roi civet. Alger, le 25 mars 2020. Louhal Nourreddine
Bonjour Anne-Marie,
Merci pour ce message positif !
J'arrive à positiver, c'est vrai. A notre âge, pas toujours sage, alors qu'il devrait (?) l'être, nous avons accumulé tellement d'expérience et de situations, que je me dis" comment est-il possible de vivre cela ?
Nous avons été élevé, les gens de ma génération après-guerre, dans le climat anxiogène, la guerre froide. Puis nous avons eu le nucléaire, et le sida, bref, on a tout vécu, enfin, on le pensait.
Le climat gretien ( désolée, j'invente des mots) paraît maintenant bien dérisoire alors que nous passons en mode "survie".
Oui, dessinons, lisons et rêvons à un monde meilleur.
Amitiés
Bonjour Michel et merci à toi qui me fais le triple plaisir d'une visite, d'un like et d'un commentaire !
Je ne suis pas tout-à-fait invisible ;)
Amitiés fidèles.
Oui Liliane, "il était une fois un méchant virus..." qui a fait basculer le vaste et si glorieux monde. Restons optimiste malgré la menace, protégeons nous; j'ai lu votre angoisse dans d'autres lignes et je vous adresse toutes mes meilleures pensées.
L"'art-refuge", quel qu'il soit, nous permet de faire diversion, alors rêvons, dessinons et ne pensons pas trop.
Amicalement. AM
Une consolation, une fenêtre ouverte, une possibilité d'évasion. Sur chevalet, sur un lutrin, ou bien calé dans un fauteuil heureusement il nous reste les livres, l'art, le conte et le rêve.
Merci Robert Paul !