Statistiques google analytics du réseau arts et lettres: 8 403 746 pages vues depuis Le 10 octobre 2009
Arts et Lettres
Vous devez être membre de Arts et Lettres pour ajouter des commentaires !
Join Arts et Lettres
Merci Rébecca suis touchée par ton regard
Douce comme la mousse ...
Oui Rosyline aussi douce que la personne qui a servi de modèle Merci à toi
Merveille......
Que de belles images et d'autres facettes encore évoquent vos mots chers poètes
Rémy, Raymond, Alejandro et que de douceur et de sensibilité comme le dit justement Chris
vous êtes un rayon de soleil Voilà un bel instant de partage que je garde dans mon carnet d'or précieusement
Merci infiniment Arlette
Ne baissez point vos yeux saphirs
Ce que vous murmurait le poète
Et qui vous sembla ne pas suffir
N'est autre que l'invite à la grande quête.
Regardez-moi, ma douce amie, ma tendre,
Regardez ce rameau bleu et droit et fier !
Sur la pointe de tige, il invite à nous tendre
Vers le ciel: c'est notre mongolfière.
Montons sans crainte, sans remords.
La terre nous a donné tous ses fruits.
Il est temps d'oser ce qui nous mord
Avant que nous n'en perdions l'usufruit.
Ne baissez plus ces prunelles ardentes;
Vous et moi, connaissons l'or du silence.
Derrière nos épaules laissons donc Dante.
Offrez-moi votre main, nous fuirons toutes pestilences.
Regardez comme la nuit s'annonce claire
Tandis que vous êtes toute songeuse.
Permettez que mon amour vous éclaire
Et vous emporte en des iles mystérieuses.
Le poète est patient: il vous attend.
Quand votre regard croisera le mien
Votre coeur saura qu'il est temps
De nous engager sur un même chemin.
Et d'un sourire au délicat parfum
Ce timide minois nous invite à l'insouciance,
Embaumée d'un soir sur le point de tomber,
Pour renaître à la nuit au jardin des hespérides
Et cueillir une pomme à la sensuelle saveur !
Je savais que cela t'interpellerait à toi de jouer maintenant Poète
Merci Jacqueline , Olivier souvent une esquisse est plus vivante qu'un portrait abouti car il reste un "rien" de spontanéité qui disparaît par le suite
"il y a toujours un coup de pinceau de trop "disait un sage chinois
le silence de Raymond s'y accorde à merveille car la contemplation ici est d'une douceur exquise
Un sourire dans les yeux et tout est soudain plus beau...
Veuillez vérifier les paramètres de votre navigateur ou contacter votre administrateur système.
Commentaires
Merci Rébecca suis touchée par ton regard
Douce comme la mousse ...
Oui Rosyline aussi douce que la personne qui a servi de modèle Merci à toi
Merveille......
Que de belles images et d'autres facettes encore évoquent vos mots chers poètes
Rémy, Raymond, Alejandro et que de douceur et de sensibilité comme le dit justement Chris
vous êtes un rayon de soleil Voilà un bel instant de partage que je garde dans mon carnet d'or précieusement
Merci infiniment Arlette
Ne baissez point vos yeux saphirs
Ce que vous murmurait le poète
Et qui vous sembla ne pas suffir
N'est autre que l'invite à la grande quête.
Regardez-moi, ma douce amie, ma tendre,
Regardez ce rameau bleu et droit et fier !
Sur la pointe de tige, il invite à nous tendre
Vers le ciel: c'est notre mongolfière.
Montons sans crainte, sans remords.
La terre nous a donné tous ses fruits.
Il est temps d'oser ce qui nous mord
Avant que nous n'en perdions l'usufruit.
Ne baissez plus ces prunelles ardentes;
Vous et moi, connaissons l'or du silence.
Derrière nos épaules laissons donc Dante.
Offrez-moi votre main, nous fuirons toutes pestilences.
Regardez comme la nuit s'annonce claire
Tandis que vous êtes toute songeuse.
Permettez que mon amour vous éclaire
Et vous emporte en des iles mystérieuses.
Le poète est patient: il vous attend.
Quand votre regard croisera le mien
Votre coeur saura qu'il est temps
De nous engager sur un même chemin.
Et d'un sourire au délicat parfum
Ce timide minois nous invite à l'insouciance,
Embaumée d'un soir sur le point de tomber,
Pour renaître à la nuit au jardin des hespérides
Et cueillir une pomme à la sensuelle saveur !
Je savais que cela t'interpellerait à toi de jouer maintenant Poète
Merci Jacqueline , Olivier souvent une esquisse est plus vivante qu'un portrait abouti car il reste un "rien" de spontanéité qui disparaît par le suite
"il y a toujours un coup de pinceau de trop "disait un sage chinois
le silence de Raymond s'y accorde à merveille car la contemplation ici est d'une douceur exquise
Un sourire dans les yeux et tout est soudain plus beau...