Il s’agit d’une peinture frontale où toute perspective est absente. Il n’y a aucun appel vers un au-delà, ce qui conduit au flottement, au mouvement, à l’étrangeté, au grotesque. Les personnages représentés deviennent alors intemporels. Tout est chamboulé.
Il est intrigant en effet. Ce qui ne me déplais pas. Dès lors que l'on travail en masse d'ombre et de lumière cela crée le volume donc la perspective. Je ne la réfute pas, bien au contraire. Ce qui me plais beaucoup, s'est l'idée du trait sur le corps opposé au masses modelés du visage et des mains comme un effet d'esquisse que l'on approfondit en étude sur un élément clef. Ce qui crée une jolie dynamique.. La ligne horizontale dessiné par le clair obscure est très contemporaine et coupe le cadre en deux et heureusement pas dans des proportions régulière. Quand au triangle de l'assise je trouve qu'il pose le personnage et défini l’espace. Cela dit. J'adore votre travail expressionniste Alain.
Commentaires
Il s’agit d’une peinture frontale où toute perspective est absente.
Il n’y a aucun appel vers un au-delà, ce qui conduit au flottement, au mouvement, à l’étrangeté,
au grotesque.
Les personnages représentés deviennent alors intemporels.
Tout est chamboulé.
Jean-Marc Bristhuille