Je reviens de Corse, et sur la plage dont je tairai le nom, les touristes épris de nature et de liberté dressent et superposent des galets et improvisent de magnifiques sculptures à l'aide de bois rejetés par la mer, patiemment pelés à l'Opinel. Des mobiles défiant toute loi de l'équilibre pendent aux bords des parasols, comme autant d'amulettes appelant je ne sais quel esprit au rouge soleil levant du petit matin, comme aux premières heures du Monde.
Je ne les ai pas immortalisés, car l'éphémère doit le rester, mais ce spectacle s'appelle "Reviens".
Commentaires
Un contraste très bien rendu!
Bravo au photographe!
Adyne
Que c'est beau !
Je reviens de Corse, et sur la plage dont je tairai le nom, les touristes épris de nature et de liberté dressent et superposent des galets et improvisent de magnifiques sculptures à l'aide de bois rejetés par la mer, patiemment pelés à l'Opinel. Des mobiles défiant toute loi de l'équilibre pendent aux bords des parasols, comme autant d'amulettes appelant je ne sais quel esprit au rouge soleil levant du petit matin, comme aux premières heures du Monde.
Je ne les ai pas immortalisés, car l'éphémère doit le rester, mais ce spectacle s'appelle "Reviens".
Merci pour ce très beau partage.