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"Bébé Finley" dans les bras de Morphée

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Commentaires

  • Hélas, hélas, combien de temps encore resteras-tu  parmi nous, "Petit Poucet" innocent ?

    Combien d'heures, de jours, de semaines ou de mois nous serons accordés à partager avec toi, "Bébé Finley",

    le dernier-né de la couvée, venant de compter seulement deux ans d'existence ?

    Sans doute, ce n'était pas assez d'avoir dû assister impuissantes, à tant de "départs" prématurés de tes congénères sacrifiés, il nous faut dès aujourd'hui nous préparer au tien ?

    ô Saint François d'Assise, vous le chantre de la Nature, ne pourriez-vous intercéder en sa faveur afin que ce jeunot ne s'éclipse pas aussi promptement  qu'une météore, de notre globe terrestre ?

    Pour sûr, vous avez fort à faire, nous n'en sommes que trop conscientes, mais considérez cette créature si vulnérable, sur laquelle nous nous devons en êtres responsables de veiller, et insufflez lui, de grâce, quelques  bonnes ondes pour que le pauvret ne renonce pas si aisément à la vie ; surtout, daignez nous octroyer la force mentale de croire en une possible "rémission" !!!

    Puisse un remarquable thérapeute, ami des bêtes au grand coeur, parti "tutoyer l'azur", nous entendre et formuler en l'honneur de notre petit malade sa dédicace-prière :


    "Au Franciscain Saint Roch et son chien au grand coeur,

    À Saint François d'Assise et son loup de Gubbio,

    À Saint Antoine ermite et ses lions protecteurs,

    À tous les saints amis et frères des animaux

    Qui surent réparer, en de trop rares instants

    De la terrible histoire depuis le premier homme,

    L'abominable plaie qui dévore le flanc

    De cette création qui, par leurs divins baumes,

    S'est remise à rêver de ce bienheureux port

    Où mal et maladie n'existaient  pas encore.

    Docteur vétérinaire Francis Lizon,

    le 6 Mai 1996

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