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Altamira

Huile sur papier d' emballage
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Commentaires

  • A mon avis, votre œuvre artistique, travail sur le sujet du passage des êtres vivants sur la terre, et aussi sur le thème de fossilisation, que ce soit réel (Dinosaures…), ou imaginaire (Dragon…). Et enfin, c’est le tour des Hommes, des crânes et des cries. Un passage dur !
    C’est une sorte de mémoire archéologique, transmise vers le futur…
    C’est un travail qui nous fait rappeler notre passage dans cette vie, et que nous passerons tous en mode de fossilisation, et en mode de gravure.
    C’est vraiment, une œuvre originale, pleine d’idées et d’émotions, et du réalisme existentiel, trompée bien sur, dans un champ imaginaire riche par son contenu étrange, et en même temps familial.
    Et c’est aussi un travail, qui nous fait rappeler le réalisme naturel.

    Bravo !
    Amicalement,
  • Ce thème avec absence de paysage, d'arbres, d'objets, est-il empli de signes?

    Point de bisons, aurochs, biches, bouquetins ou chevaux, félins, rennes, ours, taureaux, mammouths, ramures de cerfs.

    Des signes d’un art codé? Peut-être un rayonnement de codes prolongeant la beauté fragile et mystérieuse venue de la préhistoire ? Un nouveau théâtre d’émotion esthétique et une nouvelle représentation symbolique au-delà de la chasse, de la fécondité et de la vie quotidienne, par le moyen d’ondulations géométriques au caractère abstrait? Une cosmologique retrouvée ? Des messages dissimulés enfouis dans l'obscurité éternelle d’une mythologie, joints à une énigmatique agonie du réel et du rationnel qui ouvre sur un factice halluciné?
  • Altamira, j'aime le mouvement, comme une danse, la fluidité, les teintes subtiles, et la force, la dynamique de l'oeuvre: avec des moyens simples, vous suggérez un univers très personnel, un dialogue entre ceux de la préhistoire et l'homme d'aujourd'hui.
    Inspiration qui nous relie aux tréfonds de l'humanité, quand l'homme ne possédait pas encore l'écriture...

    Bonne continuation.
    Bien cordialement,
    Pascale Eyben
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