La fillette continua son cheminD’un bon train,Vers la vallée,Jusqu’à la maison du cordonnier.Sa lanterne illuminait la nuit.Elle trouva le cordonnier assisTout tristement à son établi :- « Mon feu s’est éteintEt je n’y vois plus rien.Mes mains sont raides de froid.Qui m’aidera ?Je ne peux plus réparer les chaussures,Sans feu et par cette froidure.Les temps sont bien durs ! »- « Je vais rallumer ton feuAvec ma lanterne, je le peux. »Dit la fillette avec zèle.Et le bon cordonnierRéchauffa ses pauvres mains.Il put à nouveau frapperEt battre la semelleSans finChant du cordonnier :« Frappe, frappe, bats la semelle,Bon cordonnier, fais des galoches.
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