« À travers la poésie de ce nouveau recueil de Mohamed El Jerroudi, nous découvrons tous les signes d'un monde menacé de destruction. Celui des faux prophètes, des guerres réelles ou latentes, du mensonge, de l'absence d'amour et de fraternité, de l'extinction de toutes les valeurs véritables. Le monde d'aujourd'hui se peuple de prédicateurs, politiques ou religieux, qui profèrent des paroles manipulatrices et des promesses qui ne seront jamais tenues. À la surface de la terre on ne trouve que désolation et cris silencieux. Les nuits sont sans sommeil et les lendemains souvent sans espérance. Ouvrir les yeux et les oreilles sur la mer et les vagues, marcher les pieds nus dans le sable qui crisse, écouter la musique du vent dans les montagnes, continuer la culture du jardin du père « qui n'a trahi personne » et de la mère qui « chantait comme un ruisseau sous un figuier », seules voies de rédemption et de survie. »
EXTRAIT de la préface du poète belge Jean BOTQUIN.....
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« À travers la poésie de ce nouveau recueil de Mohamed El Jerroudi, nous découvrons tous les signes d'un monde menacé de destruction. Celui des faux prophètes, des guerres réelles ou latentes, du mensonge, de l'absence d'amour et de fraternité, de l'extinction de toutes les valeurs véritables. Le monde d'aujourd'hui se peuple de prédicateurs, politiques ou religieux, qui profèrent des paroles manipulatrices et des promesses qui ne seront jamais tenues. À la surface de la terre on ne trouve que désolation et cris silencieux. Les nuits sont sans sommeil et les lendemains souvent sans espérance. Ouvrir les yeux et les oreilles sur la mer et les vagues, marcher les pieds nus dans le sable qui crisse, écouter la musique du vent dans les montagnes, continuer la culture du jardin du père « qui n'a trahi personne » et de la mère qui « chantait comme un ruisseau sous un figuier », seules voies de rédemption et de survie. »
EXTRAIT de la préface du poète belge Jean BOTQUIN.....