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Publications de Michel Marechal (48)

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Mon parcours

Parcours

1965

Diplôme à l’Institut des Beaux-Arts St-Luc Liège

1965 à 1967

Nombreuses expositions de groupes

Liège, Bruxelles, Namur, Huy, Verviers

1967

Service militaire où je peints les blasons des provinces belges

destinés aux portes des chambres (et je traîne en longueur

échappant ainsi aux manœuvres de fantassin)

1968

Interruption pour cause de mariage et grossesse ( !... pas moi ma femme)

Jusque 1989, année de mon divorce, je peints une à deux toiles par an

et pour nourrir ma famille, je réalise de la décoration d’étalages

et du graphisme.

Je joue énormément de musique, auteur compositeur, je me produits

en concert.

1989

Je rencontre ma compagne.

Je suis repris par le démon de la peinture, qui ne me quitte plus

*(Par contre ma compagne me quitte en 2004)

1990 à 2004

Membre du cercle des Beaux-Arts de Verviers.

Prix de la Ville de Durbuy deux années de suite.

Prix d’Honneur au concours Dieudonné Jacobs à Spa.

Prix du public au symposium d’Hermalle-s/Huy.

Expositions : Huy, Amay, Durbuy, Liège, Esneux, Verviers, Lincent, Fléron, Spa, Villers-le-Temple, Vaux-sous-Chèvremont, Chaudfontaine, Bruxelles, Gand.

Symposiums 2003 et 2004 à la ferme castrale d’Hermalle-s/Huy.

Symposiums 2005, 2006,2007 et 2008 au centre culturel d' engis

2007 exposition à la ferme castrale d' Hermalle s:Huy

Festival André Coppens 2006, 2007, 2009

Barcelone, ou mes 6 toiles sont volées

Exposition permanente au château de Vierset, Condroz Belgique

Prix du jury pour la peinture au festival artistique international André Coppens 2010

Ma plus belle œuvre de collaboration : mes cinq enfants.

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Bonjour à tous

D'abord un peu en retard pour souhaiter un joyeux anniversaire au site, et aussi mes félicitations à Paul Frère

pour son excellente gestion de Arts et Lettres, j'suis très content d' en faire partie Bonne journée à toutes et tous, Michel Marechal

Bonne journée à toutes et tous, Michel Marechal

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De Pierre Desproges

Michel Marechal
Contrairement à Villon qui stagnait dans le ruisseau j’ai la chance d’habiter en plein Paris une maison qui donne sur un petit jardin. Quelle joie chaque matin d’ouvrir les volets pour entendre tousser les oiseaux... Pierre Desprosges
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Tout

Tout tout tout vous saurez tout…

J’ai énormément de difficulté à me tenir sur une seule toile.

Alors, j’en commence trois ou quatre à la fois, créant ainsi un thème. Lorsque j’estime mon travail terminé, j’exploite d’autres horizons.

J’expérimente de nouvelles techniques. J’aime beaucoup les matières structurées. Je ne fais jamais une seule esquisse ni aucun projet. Je travaille spontanément, et après, la toile me parle. Les formes, les couleurs se présentent à moi et j’essaye de les dominer. Ce n’est pas une chose facile, je fais énormément d’erreurs. Lorsque l’œuvre ne me parle plus, je l’enlève du chevalet et je commence autre chose. Il est extrêmement rare qu’une toile arrive à son aboutissement d’un seul coup. Ca arrive parfois mais là, c’est un coup de pot.

J’avais fait une toile en 1994 que j’ai exposé à plusieurs reprises et qui avait été choisie pour me représenter sur une affiche du salon du Cercle des Beaux-Arts de Verviers, et chaque fois que je la regardais, quelque chose en moi me disait « elle n’est pas terminée, elle attend un geste de toi, il faut aller plus loin… » et 10 ans après, je l’ai je crois terminée. En tous cas, elle a l’air plus heureuse.

Un critique d’art a dit de moi : « D’une grande séduction, les huiles, collages et acryliques de ce peintre créent une impression d’équilibre et de sérénité qui se distille sans effet de répétition ». Ca m’a drôlement encouragé.

J’ai de longues périodes de doute ou rien ne se passe, où j’ai l’impression d’avoir tout dit, où la vue d’un simple tube de couleur me hausse le cœur. Puis un rayon de soleil sur un objet que je vois tous les jours attire mon attention, et c’est le déclic, c’est reparti.

Au début, j’étais figuratif et quand je suis passé à l’abstrait, j’ai ressenti une impression de liberté de découvrir un monde inconnu et passionnant, de me trouver comme disait un autre critique, « entre ciel et terre », de gérer l’espace de la toile sans me poser trop de questions, comme un enfant qui dessine et c’est là que j’ai retrouvé la spontanéité que j’avais perdue étant figuratif.

Il ne faut pas provoquer les choses, ces dernières viennent d’elles-mêmes. Il faut parvenir à les maîtriser et les rendre belles.

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