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Publications de Marc Loy (215)

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L'autre

L’autre

 

A la mort, tu réponds

La vie et la lumière,

A l’enfer, tu réponds

Je suis heureux sur terre,

Aux censeurs, aux grincheux,

Qu’ ils pourraient rire un peu,

La vie est un OVNI

Qu’il faut piloter seul

 

Notre univers est solitaire,

Trouvera t’il son autre face

 

L’amour est un grand jeu

Où chacun a en lui

Un seul pion, mais le bon,

La roue tourne sans cesse,

Tu ne dois lancer qu’une fois,

Comme naître ou mourir,

Les erreurs sont fatales

Et te mènent au néant

 

Notre univers est solitaire,

Trouvera t’il son autre face

 

Comme pièce de monnaie,

Une fois est la bonne,

Nous ne faisons plus qu’un

Et, de cette fusion,

Vont naître des étoiles

Formant des galaxies

Et peut-être un ensemble

Qui aura un prénom

 

Notre univers est solitaire,

Il peut en créer d’autres

 

Et c’est le grand manège

De tous les univers,

Des heureux, des grincheux,

Des experts, des artistes,

De clarté, de néant,

De tous ceux qui sont là

Et ceux qui vont partir,

De la vie et la mort

 

Nos univers sont solitaires,

Dans ce grand carnaval

 

le 7-11-2025

 

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Passage

Passage

 

A vélo sur un fil,

Traversant l’univers

En ces chemins du monde,

Sur les parkings du temps,

Tu avances lentement

Dans des couloirs d’images,

Les mots se multiplient

Dans l’entonnoir des sons

 

Ce fil de vie est oscillant

Par tes désirs et ta passion

 

Tu as la foi en toi

Et te sens t’applaudir,

Ce sentier de traverse

Est ton itinéraire,

Tout en haut dans le vent

Les nuages te dispersent,

Des monstres te côtoient,

Tu ne vois plus l’espoir

 

Ce fil de vie vient de bouger,

On t’a frôlé sur la bordure

 

Sur celui électrique

Oscille ta tension,

Le stress va et vient

Dans ce monde perdu,

Tu croises des orages

Et le temps s’assombrit,

Après un long tunnel

Tes couleurs te reviennent

 

Ce fil de vie vient de bouger,

Encore du bruit dans ta toiture

 

Dans un battement d’aile,

Un rapace te parle,

En heurtant ta mémoire

Et s’envole dans la nuit

Encore deux tours de roue

Et tu arrives enfin,

La mort te tend les bras,

Une si belle fée

 

Le fil de vie s’est déchiré

L’âme et ton corps sont séparés

 

 

le 18-11-2025

 

 

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Nos terrains

 

Nos terrains

 

 

 

Dans tous les terrains vagues

de nos désirs profonds, il y a les clochers sonnant dans nos mémoires

 

 

Ces sons veulent de nous des jardins bien tenus,

notre schizophrénie est la règle du jeu

 

 

Les bourdons font de nous de biens gentils moutons,

apportant le sommeil quand la nuit est soleil

 

 

Chacun de nous doit être une fleur éternelle,

créée par notre Dieu,

aussi belle que lui

 

 

L’unité de chacun encense les louanges de tous ces petits anges,

chantant en chœurs le bonheur d’être ensemble

 

 

Que nos propriétés soient toutes préservées,

que nos mots soient châtiés pour l’amour et la paix

 

 

Que nous soyons ensemble unis dans l’harmonie, que nous soyons reflets,

que nous fassions la ronde

 

 

Pas de terrains vagues et surtout pas de vagues

dans nos si beaux jardins

 

 

le 1-12-2025

 

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Les ancêtres

Les ancêtres

 

Monter pierre après pierre

la porte de l'enfer,

en y brûlant ses yeux,

 

Boire le sang de nos vies,

coulant entre les mains,

l’ange prenant l'envol,

 

Ramper dans la fournaise

qui lèche notre corps

jusqu'au flou des pensées,

 

Courir au fond du lac,

y revoir ses ancêtres

dans les pages des lieux,

 

Trouver, dans l'encrier

de l'infinie mémoire,

le mot mort à jamais

 

Et entendre son rire

nager dans le tumulte

du silence aérien

 

le18-11-2025

 

 

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Compassion

Compassion

 

Chacun a droit à un soleil,

La vie, la mort, son univers,

Chacun a droit à ses étoiles,

Les moines, en haut plus près des cieux,

Dans leur chasuble entre les vents,

Grouillent en banlieues

Sous leur capuche, les inconnus

Touillant la blanche en purs diamants

 

C’est selon leurs désirs,

Leur environnement

 

Dans les prisons, soleil en berne,

Un carré bleu aux tours de cour,

Dans les ensembles même rengaine,

Ciel et rayons dans les sachets,

Certains voudraient qu’ils disparaissent,

Les exfiltrer de l’aventure,

Leurs ombres gênent un peu partout,

La propreté est leur slogan

 

C’est selon leurs désirs,

Leur environnement

 

Chacun a droit et ça viendra,

A un bonheur, même petit,

Un toit au chaud pour leurs grands yeux,

Combien de temps ça durera

Et quel Jésus devra venir

Pour arrêter ces pandémies

D’âmes perdues, de corps errants,

Chacun a droit à une vie

 

Ce n’est qu’un but humanitaire

Pour tous vivants sur cette Terre

 

le 13-11-2025

 

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Ton néant le vivant éternel

 

 

 

Ton néant le vivant éternel

 

La nuit t’a emporté vers l’univers du rêve,

tu es sur ton vaisseau et tu lis leurs pensées,

les oiseaux te sourient

 

Tu peux enfin voler, assis sur l’intuition,

les humains en fourmis

redondant en espoirs

 

Ils suivent des chimères,

sortir de leur silence

 

Mais toi tu as la clé,

tu es entré en toi

 

Et tu peux voyager à travers ton néant,

cette immensité noire

emplie de tes reflets

 

Les mots sur ton ciel défilent en leur musique,

déclenchant des images

éparpillées en toi

 

Ensemble créatif venant de ce grand moi,

celui relié à l’âme,

le vivant éternel

 

le 3-11-2025

 

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Les perdants

Les perdants

 

On va tous à l’égout

Quelque soit notre rang,

On va au caniveau,

Nous sommes des milliards,

On aurait pu être artiste,

Notaire ou bricoleur,

Homosexuel et gai

 

Donnons-nous donc la main,

Dansons dans le néant

 

La roue de la fortune

Ne s’est pas arrêtée,

Nous n’avons pas gagné

A la course sans fin,

Olympiades de vie,

Championnats d’espérance,

Nous sommes les perdants

Et ne naîtrons jamais

 

Donnons-nous donc la main,

Dansons dans le néant

 

Pourtant c’était la fête,

Le seigneur du tempo

Était très amoureux,

Nous valsions tous ensemble

En suivant son galop

Et puis dans la clairière,

Il revenait au pas,

Reprenant ses esprits

 

Donnons-nous donc la main,

Visitons le néant

 

Et puis il repartait,

Cabré sur son manège,

C’était un fou furieux,

On ne le suivait plus,

Tournant dans tous les sens

Et enfin, tout à coup

On était libérés

Et puis on a perdu

 

Donnons-nous donc la main,

 

13763880859?profile=RESIZE_710xNous sommes les perdants

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Nombreux

Nombreux

 

Repentirs aux tableaux,

Repentirs en mémoires,

C’est juste à ces instants

Que l’univers bascule,

Cet espoir égaré

Dans le tube des mots,

En cherchant l’équilibre,

Quand l’ange t’a laissé

 

Sur le long fil tendu, tu glisses tout au bout

 

Dans les couloirs du vent,

Tu vois voler la chaise,

C’était ta confidente

Dans les ambiguïtés

Et les statues antiques,

Dans les allées perdues,

Voient bien à ton regard

Un labyrinthe fermé

 

Sur le long fil tendu tu glisses tout au bout

 

Et tous ces repentirs

Planant dans nos nuages,

Souvenirs de marelles

Et de murs éventrés

Et son rire en rubans

Effleurant ton visage,

Les enfants de la terre

Explosant sous les bombes

 

Sur le long fil tendu tu glisses tout au bout

 

L’arbitraire est un jeu,

Dont Satan tient les règles,

Nous avons des regrets

Au trajet de nos vies,

Ils gagneront toujours,

Qui changera tout ça ?

Tu viens de faire un rêve

Et il t’a ébloui

 

Sur le long fil tendu tu viens de trébucher

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De là

De là

 

Dans le ventre du monde

S’éparpille l’espoir,

En des couloirs, des quais

De ces trains d’énergies,

Des escabeaux en rangs

Attendant les départs,

Pendant que les douaniers

Cherchent où est cachée la vie

 

Cette attirance est éternelle,

Elle nous emporte vers les tunnels

 

Sur la chaise d’angoisse,

Le chapeau suspendu

Retient toute l’histoire

De tous les univers,

La sacoche lévite,

Elle contient le big bang

Et c’est à cet instant

Que tout a commencé

 

Cette question est éternelle,

Qui résoudra le père Noël

 

Dans le ventre du monde

Il y a cet enfant,

Le premier de nous tous

Et créé par chacun,

L’âme sait tricoter

L’ADN de l’amour

Avec des mailles si belles

Et des mailles en déclin

 

Cette vision est éternelle

Combien de temps dure le tunnel

 

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Et à la création

S’est jeté le vivant,

Il est né dans sa mort,

Il est mort dans sa vie,

Le manège des étoiles

Tourne dans son esprit,

Là tout n’est que beauté

D’une douceur immense

 

Cette intuition est éternelle

Dans la blancheur du sémaphore

 

 

le 12-10-2025

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Au-delà

 

 

 

 

Au delà

 

à la fenêtre du jour

le ciel part en voyage,

nous avons

vu l 'aurore,

en cherchant des années, en cherchant la lumière,

au bord des illusions

des territoires sauvages,

inconnus

de nous tous

 

 

le lien des infinis

a surpris l'horizon

au bout de

la vision

des espoirs en éveil, les âmes que nous voyons

dans le soleil du cœur

ont la beauté céleste

qui échappe

à la vue

 

 

à la fenêtre du jour

l'amour surnaturel

a envahi

l'hiver,

tempo universel, débordant l'océan,

au fond de nos forêts,

celui qui met le feu

à la mère

et l'enfant

 

 

 

au-delà d'au-delà

le repos est clarté,

l'ouverture

est réponse,

c'est la métamorphose,instant de vérité,

c'est amour de l'amour,

beauté de la beauté,

infiniment

 

13740126887?profile=RESIZE_710xprésents

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A la folie

A la folie

 

Dans le désert les portes claquent,

le courant d'air emporte tout,

j'ai dans la tête des escaliers

qui mènent en haut de mon tumulte

 

un arbre brûle et son mystère

dévoile des pans de mon passé,

les voyageurs sont dirigés

vers les empreintes de ma douleur

 

une femme assise attend la mort

qui va entrer seule dans la nuit,

je lui demande si elle a peur,

elle me regarde, je vois ma mère

 

quand dans cent ans toutes ces âmes

seront parties dans le théâtre,

on pourra jouer une autre pièce

avec des vies pleines d'espoir

 

je suis heureux, j'ai dans mon cœur

une silhouette qui va chercher

sur le parking un jour nouveau,

j'attends mon tour, je n'ai plus peur

 

sur l'autoroute, je compte le temps

et la radio couvre mes rêves,

les arbres éteints passent sans bruit,

nous arrivons à la folie

 

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Carnaval

Carnaval

 

Les masques se regardent

Dans la lumière du ciel,

Les gargouilles sont mortes,

Notre Dame est en deuil

Et sur le pont des arts

Passent des aventures,

L’amour est dans les âmes

Des pigeons voyageurs

 

Les cages s’ouvriront

Quand la nuit dormira

 

Et sur le grand parvis

Le bal commencera,

Les machines tourneront

Silencieusement,

Au tempo du hasard

Suivant Esméralda,

Colombes et moineaux

Puis quelques tourtereaux

 

 

Les cages s’ouvriront

Quand la nuit dormira

 

Les couleurs dégradées

De la fin de soirée

Coulent dans le bassin

Du parc des internautes,

Chacun se gare à pied

Sur la toile des anges

Et les mots s’entrelacent

Salle des pieds perdus

 

Les cages s’ouvriront

Quand la nuit dormira

 

La porte des miracles

S’ouvrira sur la grotte,

Combien de sentinelles

Sont tombées sur le sol,

Avant l’effondrement

De nos bancs d’écoliers,

Se reconnaître enfin

N’est pas de tout repos

 

Les cages s’ouvriront

Quand la nuit dormira

 

le 26-8-2025

 

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L'ange

L’ange

L’ange de vie a dérobé

Ton âme lyre, l’incarcérant

Dans le plumier de tes délires,

Que peux tu faire sans gyrophare?

Pour les couleurs de ton futur

Le défilé va commencer,

Tu n’as plus d’armes pour te défendre,

La transhumance en généraux

A débarqué sur ton i phone

 

Les infirmiers sont réveillés

Sur l’oreiller de ton vivant

 

La libellule et l’éléphant se sont unis,

Est-ce le moment de La Fontaine ?

La meute éclate et vocifère,

Le souffleur d’art est débordé,

En déposant son cœur de pierre

Aux encombrants de ta mémoire,

La belle heureuse enfin sourit

Et se dénude devant les flammes

 

Les infirmiers sont solidaires

Sur le vitrail du testament

 

La débandade sort les crayons,

C’est le délire dans l’ambulance,

La fin du monde est arrivée

Et sur le quai c’est la cohue,

Enfin là-haut on te réclame,

Au tourniquet de mère veux-tu

Toi tu t’envoles par un trou noir,

C’est l’assurance des revenants

 

Les infirmiers sont réveillés

Sur l’oreiller de ton transfert

 

le 10-9-2025

 

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Parallèles

Parallèles

 

En lançant le galet

Vers cette fin du monde,

Tu as pris le chemin

Des oiseaux migrateurs,

A travers les musées,

Les labyrinthes autistes

Et les confessionnaux

De machines à vapeur

 

Nous entends tu Monet,

Toi qui dors dans les fleurs

 

Le tempo de tes points

Suit le serpent d’acier,

Sur le pont japonais

Tu rallumes ta flamme,

Nymphéas en vitraux

Et ton soleil se couche

Sur le lac d’impressions,

S’estompant dans le ciel

 

Nous entends tu Monet,

Dormant à Saint Lazare

 

Aux horizons des champs,

Vincent ramasse les blés,

La faucille du marteau

Sonne l’heure de Millet

Et la vapeur sautille,

Engloutissant les arbres,

Le tunnel est passé

Dans un fondu au noir

 

Nous entends tu Monet,

Dans ton Orangerie

 

As tu revu ton Georges,

Dans tes nuages bleutés

De la gare vaporeuse

Et tous les ricochets

Se répandent sur ta toile,

Comme Petit Poucet,

Pour retrouver ta vie

Et tu tires sur ta joie

 

Nous entends tu Monet,

Ta pipe est parmi nous

 

le 4-9-2025

 

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Atmosphère

Atmosphère

 

Sur le quai de banlieue

poussent des orchidées,

 

Les pubs Ray Ban fleuries

sur des monstres d'acier,

 

Les rails flirtent là-bas

en passant sous le pont,

 

La gare est au soleil

qui embrasse les toits,

 

La pendule parle au cœur

des amours qui s’étreignent,

 

La mère et son enfant

téléphonent à la vie,

 

Un ouvrier répare

l'ambiance des dernières grèves,

 

Un petit vieux regarde

son rêve s'éloigner,

 

Le chant du train réveille

l'atmosphère de chacun.

 

le 15-8-2025

 

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A son pied

A son pied

 

l'oiseau est sur ma tête,

dans le tiroir des sages,

au fond des bavardages.

les enfants, dans le noir,

déchirent les allumettes,

dans les mers disparues,

au fond du coquillage

gorgé de souvenirs

 

je m'assieds à son pied,

je viens d'avoir sept ans.

 

les horizons bloqués

envahissent le temps

par le poids des désirs,

abandonné d'espoir

le feu est apparu,

sur les trottoirs d'hiver,

dans le ventre des mères

par les songes d'été.

 

je m'assieds à leurs pieds

je viens d'avoir sept ans.

 

en traversant la joie,

le soleil est entré

dans le théâtre bleu

qui jouait l’apothéose

sur les bancs de l'amour.

les rangées de colombes

renversaient les étoiles

qui clignotent la vie

 

 

je m'assieds à leurs pieds

je viens d'avoir sept ans.

 

dans le square des badauds,

les amants s'endormaient

dans les songes d'été.

le vaisseau de la mort

entre dans le désert,

mon oiseau m'interpelle,

la mort est dans la vie,

mon arbre est devant moi,

 

je m'assieds à son pied,

J’ai quatre vingt sept ans

 

le 8-8-2025

 

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Ily a des oiseaux

Il y a des oiseaux

 

Il y a des oiseaux qui tracent des couleurs

Dans le ciel de nos vies, la porte du bonheur,

Écoute les vibrer dans la prunelle de l’âme,

C’est juste à ce moment que s’ouvre le sésame

 

Dans la fleur où tu entres, la gamme t’accompagne,

Les tons sont accordés, car la douceur est là,

L’horizon du plus grand égale le petit,

Vibration d’hologramme de notre paradis

 

Il y a des oiseaux dans le piano de l’art,

Menuet de Chopin ou suite de Mozart,

Dans l’arc de Cupidon qui a visé ton cœur,

Nous sommes foudroyés dans le contre-ut des chœurs

 

Les entends-tu leurs mots en nos songes harmonieux,

Montant comme des orgues dans les vitraux de Dieu

Et ce petit silence de création suprême,

Sous la baguette magique dont ce lien est l’emblème

 

Il y a un oiseau qui ne vit que pour toi,

Il n’est pas que virtuel, étant venu des bois,

Créé par Spinoza, il est ton essentiel,

C’est lui qui guidera pour t’emmener au ciel

 

le 6-2-2024

 

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Notre moi

Notre moi

 

Derrière notre rideau il y a le mystère,

La vie, la mort, l’amour, celui de notre mère,

Il y a le bon Dieu, la science et le hasard,

Quelles sont leurs importances, dans l’espoir-désespoir

 

Il y a les premiers, ceux qui prennent le pouvoir

Et ceux qui doivent donner et toujours sans retard

L’église l’a montré et son inquisition,

Nous étions enfermés et puis la confession

 

Derrière notre rideau, on a caché le moi,

Avec les catéchismes, prisons de l’au-delà,

Toutes concentrations, à l’armée, à l’écolen

Travail, famille, patrie, plus d’ailes pour l’envol

 

Maintenant la chapelle est au creux des réseaux,

Folowers ou suiveurs, le nez dans les vitraux

Et puis les transhumances, au soleil sur la plage,

Blabla des selfies, l’égo à tous les âges

 

Derrière notre rideau, où est notre inconscient,

Alors entrons en scène, jouons dès à présent

Le Molière de son moi, celui si différent,

Sans avoir peur du monde, de l’environnement...

 

le 30-4-2024

 

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Instant

Instant

 

Retrouver cet instant en bribes de mémoires,

Comme une découverte au fond d’un vieux tiroir,

Tu es dans ta piscine, tout à coup ce jardin

Et cette plénitude, la douceur en chemin

 

Retrouver cet instant, juste un certain parfum

De feuilles et de buisson à portée de ta main,

Ce parc de Cherbourg où tu te trouvais seul,

Hors du champs des horreurs te couvrant d’un linceul

 

Retrouver cet instant et un rire te vient,

Aux éclats étouffés, les yeux mouillés en coin,

Une joie inconnue car tu n’y avais droit,

Enfermé dans un être, il était loin de toi

 

Retrouver cet instant au chœur de cathédrale,

Lever les yeux aux cieux et découvrir le Graal,

Le grand jour de ta vie, une vie sans un voile,

Celui de la souffrance recouvrant les étoiles

 

Retrouver cet instant, le peindre sur des toiles,

Des milliers de jouissances qui pour toi se dévoilent,

Des pointillés d’amour pour tout ce t’entourant

Et tu découvres tout comme un petit enfant

 

le 18-7-2025

 

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