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Réponses

  • administrateur partenariats

    En Belgique, l'élève sera exclu, il est donc redirigé vers une autre école, et il y a des risques qu'il recommence, si il n'y a pas de sanctions sévères à son encontre.

    C'est une catastrophe, tout simplement.

    Dans ces cas de violence grave, l'école n'assure plus son rôle, et on peut en parler des heures, rien ne pourra bouger si on n'engage pas les moyens nécessaires pour juguler la violence.

    En cause, entre autres, la formation des professeurs qui est désastreuse en matière de prévention de la violence, la famille responsable parce que  l'éducation des enfants est pire que jamais, et les plus difficiles sont souvent issus des familles aisées, et donc se sentent au-dessus de lois.

    Certaines écoles sont perçues comme des zones de non-droit, et tout dépend de la gestion de l'équipe éducative, et du soutien qu'elle peut recevoir de l'administration.

    Certains professeurs n'ont aucune autorité, donc se laissent déborder; l'autorité est un don naturel, et les personnes qui n'en sont pas pourvues ne peuvent pas entrer dans l'enseignement !

    Quand l'élève nous dit "vous n'avez pas le droit de..." tout se joue dans la seconde au niveau de l'autorité.

    Et tout ce qui suit sera directement lié à la réaction du professeur.

    C'est cruel, mais c'est ainsi.

    Ce n'est pas un métier anodin, il faut réfléchir à ses propres compétences avant d'entamer des études pédagogiques, car le système éducatif est déficient, et la famille n'assume plus son rôle au niveau du civisme.

    Cette video est très bien construite.

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