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  • 1 avr. 2017 à 6:00 à 22 avr. 2017 à 7:00
  • Lieu: Centre Culturel Algérien à Paris
  • Dernière activité: 31 oct. 2023

« PAROLES TISSEES »  Toiles inspirées des motifs berbères de Kabylie
OEUVRES D'HAMSI Boubeker
Exposées pour la toute première fois

DU 01 AU 22 AVRIL 2017

AU CENTRE CULTUREL ALGERIEN A PARIS
Vernissage le vendredi 31 mars de 18h30 à 21h
En présence de l'artiste


«PAROLES TISSÉES », L’EXPOSITION D’HAMSI BOUBEKER NOUS CONTE L’ART, LES TRADITIONS ET LA SYMBOLIQUE ANCESTRALES DES FEMMES KABYLES VIA UNE OEUVRE PICTURALE REJOUISSANTE»


A son époque, HAMSI Boubeker avait réalisé la collection Paroles tissées composée de 56 bannières en s'inspirant de motifs berbères de Kabylie. Ces oeuvres ont été réalisées sur papier, et toutes sont presque d'une dimension 54x220 cm.
En complémentarité à cette collection, il décida de réaliser sur le même thème plus de 30 toiles entre 2014 et 2016. Par manque d'espace, ce sont ces dernières qui seront présentées au Centre Culturel Algérien à Paris.

Du 01 au 22 avril 2017, le Centre Culturel Algérien à Paris  présentera  des oeuvres d'HAMSI Boubeker, un artiste autodidacte unique en son genre, né à Bejaïa en Algérie, une petite ville de Kabylie. Il s'agit de plus de trente oeuvres, issues de la collection « Paroles Tissées » inspirées des motifs berbères de Kabylie.

Cette nouvelle collection de plus de trente toiles à l'acrylique a été réalisée par HAMSI Boubeker entre 2014 et 2016, dans son atelier à Bruxelles. Elles sont presque toutes d'une dimension de 50x70 cm.

Une collection qui fait  suite à celle de «Paroles Tissées», acrylique sur papier. La collection dans son entièreté, composée de 54 bannières, a été exposée en 2012, à Bruxelles, à la Maison des Cultures de Saint-Gilles, en mai 2012, au Palais de la Culture d'Alger à la «Galerie Baya», et en juin 2015 au Sungfabrik de Kayl au Grand Duché du Luxembourg.

L'artiste a tout spécialement conçu ces nouvelles oeuvres dans le but de pouvoir les exposer dans des espaces plus petits. En effet les bannières ont besoin de salles d'exposition plus grandes. C’est une nouvelle voie que HAMSI ne choisit pas au hasard, et encore moins sous l’influence de la mode.

Tout naturellement, il se tourne une fois de plus vers la culture kabyle, où l’on sait que le tissage occupe parmi les activités coutumières une place des plus importantes. Non pas qu’il envisage de devenir tisserand lui-même, mais, s’inspirant de cet artisanat largement aux mains des femmes, il imagine de créer, cette fois-ci sur toile, des pièces qui évoquent les tapisseries kabyles, et qui sont destinées à être suspendues aux murs. Plus précisément, les modèles d’autrefois jouent pour lui le rôle de points de départ : dans son travail d’ornementation, il reprend un certain nombre de motifs traditionnels, les réinterprète à sa manière, puis s’en libère pour inventer des figures totalement originales, ce qui lui permet d’échapper au risque de la monotonie et d’obtenir une grande diversité plastique.  

Le Centre Culturel Algérien à Paris vous invite de découvrir cette culture riche et joyeuse.

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