Christine Brunet
Le livre est épais (485 pages), mais on se laisse tellement prendre par le rythme trépidant de l’histoire qu’on arrive à la fin sans même s’en rendre compte. Pas de temps morts, pas de scènes qui s’éternisent, rien que de l’action. Voir: ICI http://www.bandbsa.be/contes.htm
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