

J’ai déposé le livre sur la table et souri. Car j’étais sûr que la petite Christine nous réserverait une chute de derrière les fagots. Puis j’ai fait un peu d’introspection, comme lorsqu’on sort du bruit et de la fureur d’une salle de cinéma... quelle gonzesse que cette Aloys Seigner ! voir: ICI http://www.bandbsa.be/contes.htm
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