Mili Presman, peintre, et Phedia Mazuc, photographe, évoquent chacune à leur manière, des bribes de vies.
Au centre de l'oeuvre de Mili Presman on trouve la solitude, l'errance, mais aussi la rencontre notamment dans le métro parisien. Chaque personne qui entre dans son tableau se retrouve non plus dans la situation banale de l'usager mais atteint une dimension surréaliste. Cadrages cinématographiques, touches impressionnistes et cohabitations incongrues invitent au mystère.
Avec des ambiances brumeuses en noir et blanc, dans lesquelles se détachent à peine des silhouettes furtives, Phedia Mazuc nous invite à imaginer des scènes de vies , des histoires passées, présentes ou à venir.Ses séries " Pas perdus pour tout le monde" et "Nos chairs disparues" incarnent la dualité entre la réalité du monde et ses limites.
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