S'il fallait chercher la source féconde où prend racines la peinture de Frédéric Halbreich, j'irais jeter un oeil du coté de chez Georges de La Tour.
Comme chez celle de son caravagesque prédécesseur l'art du clair-obscur y est souverain. De sous les glaçures noires, infiniment en profondeur, jaillissent rais et noyaux de lumières, violant à coeur, irradiant l'espace pour venir tendrement heurter leur complémentaire-contraire qui est la plénitude du noir.
Frédéric Halbreich nous parle du Grand Mystère avec puissance et élégance.
De ce dialogue avec les étoiles il ressort une infinie et mystique intimité.
Jean-Philippe Braam
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