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«Florilèges surréalistes ©»
Il n’est pas erroné de parler de florilèges lorsque l’on évoque les toiles de cet
artiste,d’autant que la plupart de celles-ci sont accompagnées d’un texte qui
nous donne, si l’on se prend au jeu, accès à l’imaginaire fécond de l’artiste.
Double sens, jeux de mots, aucun des éléments qu’il nous livre n’est anodin.
Il revisite notre passé, notre présent et notre avenir en quelques coups de
pinceaux et en quelques lignes sur des pages blanches.
Marc Brees aborde aussi certains thèmes sous la forme d’un «soft-anarchisme
apolitique» qui dénoncent quelques uns des travers de nos sociétés.
Ses «propos» sont teintés d’humour et de dérision. De peines, de joies mais
aussi d’espoir.
La palette se veut sans limite lorsqu’il s’agit de dénoncer nos excès, nos contradictions,
nos faiblesses voire nos lâchetés. Il aborde la vie, tout simplement.
Puis, une forme de poésie l’emporte loin de ce tumulte.
Il redevient cet enfant rêveur, curieux et émerveillé.
Il nous raconte des histoires courtes aux longs rebondissements afin de mieux
nous noyer, à notre tour, dans le rêve éveillé.
Prenez garde, car au détour de l’une ou l’autre toile il saura vous émouvoir en
remuant quelques unes de ces cicatrices que nous cachons au plus profond de
nous-même.
Il prend la parole là où nous nous taisons.
Il clame sans complexe sa «belgitude».
Il ouvre quelques portes nous permettant, à notre tour, de nous raconter une
histoire, et nous voilà acteur de notre propre histoire!
Tout cela ne laisse pas indifférent et c’est tant mieux.

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