Chaés et profanes de Kabylie nts sacret d’ailleurs
Et toussa grasse a Hacane Metraf et arizki diche denise martinaz et tout les autres racontaristes ...
* Le festival Raconte-Arts entame, avec cette onzième édition, une nouvelle décennie, un
nouveau cycle. C’est vrai que nous avons fêté le dixième anniversaire avec p...anache à At Yani
et que le grand public a compris que nous tenons là une véritable formule. Seulement pour
que l’alchimie prenne vraiment, nous nous devons, même si nous avons fait du chemin, de
fournir plus d’efforts afin de réaliser le saut qualitatif tant attendu. Il y a assurément de la magie
dans notre manifestation ; il faut tout simplement y mettre de la rigueur pour que le rêve
et l’efficacité s’associent pour une meilleure organisation et donc un meilleur rendement. En
tous les cas, les activités intellectuelles doivent être mieux présentées : qualité des interventions
et ponctualité. Il y va de la pérennité de notre belle aventure. Raconte-Arts est un projet
structurant qui inaugure de nouvelles pistes pour ouvrir la voie aux associations culturelles
afin qu’elles sortent des sentiers battus. Au-delà de l’aspect festif que nous revendiquons, nos
villages méritant de sortir de leur grisaille, nous avons une responsabilité morale de réussir
une entreprise crédible. Car nous représentons - à notre corps défendant - peut-être un autre
possible. Nous sommes en train de réinventer la fête, au sens traditionnel du terme. L’engouement
populaire pour notre semaine est la preuve que la population adhère aux projets
qui lui sont réellement consacrés.
C’est à Agoussim que nous élirons domicile durant une semaine au mois d’août pour
ce nouveau crû 2014. C’est un village de haute montagne. A l’instar de Mereghna qui a
donné Ferhat Mhenni et Mohand Ouali Kezzar, Lemsella qui a donné Zayen, Agoussim a
donné Mehdi Mezeghrane. La situation géographique de ces villages est telle qu’elle vous
donne envie de méditer, poétiser, rimer et chanter. C’est donc tout naturellement que le site
a influencé notre choix de titre générique, pour cette année : « kker-t a lexwan ma nr.
uh.
.
Et toussa grasse a Hacane Metraf et arizki diche denise martinaz et tout les autres racontaristes ...
* Le festival Raconte-Arts entame, avec cette onzième édition, une nouvelle décennie, un
nouveau cycle. C’est vrai que nous avons fêté le dixième anniversaire avec p...anache à At Yani
et que le grand public a compris que nous tenons là une véritable formule. Seulement pour
que l’alchimie prenne vraiment, nous nous devons, même si nous avons fait du chemin, de
fournir plus d’efforts afin de réaliser le saut qualitatif tant attendu. Il y a assurément de la magie
dans notre manifestation ; il faut tout simplement y mettre de la rigueur pour que le rêve
et l’efficacité s’associent pour une meilleure organisation et donc un meilleur rendement. En
tous les cas, les activités intellectuelles doivent être mieux présentées : qualité des interventions
et ponctualité. Il y va de la pérennité de notre belle aventure. Raconte-Arts est un projet
structurant qui inaugure de nouvelles pistes pour ouvrir la voie aux associations culturelles
afin qu’elles sortent des sentiers battus. Au-delà de l’aspect festif que nous revendiquons, nos
villages méritant de sortir de leur grisaille, nous avons une responsabilité morale de réussir
une entreprise crédible. Car nous représentons - à notre corps défendant - peut-être un autre
possible. Nous sommes en train de réinventer la fête, au sens traditionnel du terme. L’engouement
populaire pour notre semaine est la preuve que la population adhère aux projets
qui lui sont réellement consacrés.
C’est à Agoussim que nous élirons domicile durant une semaine au mois d’août pour
ce nouveau crû 2014. C’est un village de haute montagne. A l’instar de Mereghna qui a
donné Ferhat Mhenni et Mohand Ouali Kezzar, Lemsella qui a donné Zayen, Agoussim a
donné Mehdi Mezeghrane. La situation géographique de ces villages est telle qu’elle vous
donne envie de méditer, poétiser, rimer et chanter. C’est donc tout naturellement que le site
a influencé notre choix de titre générique, pour cette année : « kker-t a lexwan ma nr.
uh.
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