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Commentaires

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  martine rouhart 23 janvier 2021 at 4:40

  Merci Monsieur Paul , et merci Liliane, quelle belle attention d'avoir posté ce joli souvenir, très bon we à vous !
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  Robert Paul 22 janvier 2021 at 12:34

  Loin des routes agitées

  C’est d’un filet de voix que l’auteure sonde la profondeur de l’instant, l’écho d’une perma-nence dans l’offrande du présent.

  « Tenter de consoler le temps qui reste » et « semer sur nos vies ses cailloux blancs » tel le petit Poucet, l’instant n’est-il jamais qu’une boucle dans le temps, et, par-delà les ans, un ressourcement du vivant, le moment privilégié d’un souffle que reprend sur lui le poète ?

  Un chant discret s’élève, volatile comme l’île que rebat l’océan, une palme.

  Fluide et transparent, le recueil semble vouloir se faire oublier, sa parole devoir s’envoler comme au bec de l’oiseau, dans son souffle le chant. Plus que par leur lexique c’est à travers leur rythme que l’auteure veut nous rendre compte de la pulsation qui l’anime et, la dépassant, renvoie sa personne à la persistance du vivant anonyme.

  Mais ne dit-on pas que le poète n’est pas celui qui est inspiré mais celui qui inspire ? C’est cela même qu’au puits de l’instant elle nous souffle à l’oreille.

  (Extrait de la préface de Jean-Michel Aubevert)

  " Peut-être que l’on écrit

  seulement

  pour ouvrir des portes

  vers le dedans

  vers le dehors

  pour faire circuler

  les rythmes essentiels

  de la vie"

  (Martine Rouhart)

  ISBN 978-2-3905-2006-1 * 72 pages * 20 €
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  Robert Paul 22 janvier 2021 at 12:20