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NORIG interprète un chant traditionnel tzigane "FERICIT E OMUL PE LUME"

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Norig, une pure"gadji" dans un répertoire d'inspiration tzigane, habite ici le chant "Heureux est l'homme dans ce monde"(FERICIT E OMUL PE LUME") extrait de l'Album "GADJI", Collection "Voyage en Tziganie", label des musiques slaves-tziganes :Tzig'ArtVersion acoustique, en compagnie de ses musiciens :Violoncelle,guitare solo,compositions, arrangements :Sébastien GiniauxAccordéon, arrangements :Victor Coman,Violon : Benoit Josse,Guitare rythmique : Mathieu "Staro" Châtelain,Contrebasse : Jérémie Arranger,Clarinette, Kaval (flûte de berger) : Adrian Receanu

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Commentaires

  • Merci Valériane de nous faire voyager avec ce chant et cette musique tout à fait typique.

  • Trés belle voix, trés puissante comme un crit de l'âme; Merci Valériane

  • on se sent transportés ! quelle merveille ! merci Valériane pour ce sublime partage,

  • En concert à Roanne Norig interprète " Ederlezi", même avec quelques touches musicales élecriques, elle est encore magnifique :

    https://www.youtube.com/watch?v=VliMI9jQ3-M

    Ederlezi est une chanson dont la paternité est controversée, et parue pour la première fois en 1988 sur la bande originale du film Le Temps des Gitans. Elle est parfois présentée comme une chanson traditionnelle tzigane (Gitans), mais elle est généralement attribuée à Goran Bregović[1], alors qu'elle est tout simplement une chanson immémoriale traditionnellement chantée le jour de la saint-Georges dans les Balkans.

    Sur la version de Bregović, une voix (interprétée par Vaska Jankovska) commence à chanter a cappella son histoire, celle d'un jeune musicien obligé de rester à l'écart pendant la fête de l'Ederlezi, chez les Gitans. Des cuivres puis un chœur mixte viennent ensuite porter la voix pour le reste de la chanson, largement inspirée des chants et de la musique tziganes.

    Il existe également une version en serbo-croate (Djurdjevdan) interprétée par le groupe Bijelo dugme dont Goran Bregović était le guitariste. Cette version reprend les paroles traditionnelles, dans lesquelles un jeune homme pleure son amour perdu le jour de la saint-Georges.

    Le succès de cette chanson aussi bien parmi les communautés Roms qu'à l'étranger fut à l'époque une surprise. Cette chanson, qui a également fait l'objet de plusieurs reprises (Boban Markovic Orkestar, Ysa Ferrer, Amina, Norig, ...), est depuis devenue un "hymne" pour les nationalistes serbes, bien que Goran Bregović soit opposé à cette mouvance.(Source Wikipedia)

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