Le temps des cathédrales Publié(e) par Rébecca Terniak le 3 avril 2012 à 6:44 Vues: 54 1 Obtenir le code d'intégration <iframe width="459" height="344" src="http://www.youtube.com/embed/1RB_pImq9CU?fs=1&feature=oembed&wmode=opaque" frameborder="0"></iframe> by Bruno Pelletier (extracted from his album Sur Scène) a song from the musical Notre-Dame de Paris music by Riccardo Cocciante lyrics by Luc Plamondon Lyric... Vous devez être membre de Arts et Lettres pour ajouter des commentaires ! Join Arts et Lettres Commentaires Gohy Adyne 3 avril 2012 at 9:53 Je vais faire simple, j'aime. Adyne Rébecca Terniak 3 avril 2012 at 9:33 Et moi,je la chantais à tue tête avec Marienka à la suite de "Belle, on dirait ..." et "Aimer, c'est comme les oiseaux" Bref nous étions gaga pour cet opéra .. C'était dans les années 1999-2000 dans les montagnes de Neuchatel, village de 900 à 1200 mètres d'altitude - 4/5 mois sous la neige et le soleil, face à la chaîne des Alpes et au lac et fini, la Seine de Chatou et la Tour Eiffel au loin ! Rébecca Terniak 3 avril 2012 at 7:33 Le temps des Cathédrales Écouter cette merveilleuse poésie en chanson Me provoque toujours une forte émotion Lorsque je contemple la vision De la noble cathédrale Notre Dame, Sublime vaisseau de pierre ciselé Qui de tous temps captive mon âme, Sur la Seine, vitraux et secrets gardés Dans leur alchimique creuset. Ce n'est pas seulement d'avoir à ses côtés Ma tendre jeunesse demeuré Et matin et soir, sous tous ses aspects, Avoir pu, de dos comme de face, l’admirer ... Non, il me semble que cela vient de plus loin… Et j’en garde encore le frisson : Je revois la foule chantante des pèlerins qui en longue et dense file du lointain horizon, depuis des mois, partie de ses quatre coins vers la cathédrale, en ferventes prières, encore et toujours plus nombreuse affluait, Telle à 16 ans, dans une puissante vision, en écoutant l'ouverture de Tannahauser du génial musicien visionnaire, je l’ai vu, entendu et émue, dépeint. La musique grondait et en moi résonnait Et jusqu’au ciel ver les anges montait. This reply was deleted. Envoyez-moi un e-mail lorsque des commentaires sont laissés – Suivre
Commentaires
Je vais faire simple, j'aime.
Adyne
Et moi,je la chantais à tue tête avec Marienka
à la suite de "Belle, on dirait ..."
et "Aimer, c'est comme les oiseaux"
Bref nous étions gaga pour cet opéra ..
C'était dans les années 1999-2000
dans les montagnes de Neuchatel,
village de 900 à 1200 mètres d'altitude -
4/5 mois sous la neige et le soleil,
face à la chaîne des Alpes et au lac
et fini, la Seine de Chatou
et la Tour Eiffel au loin !
Le temps des Cathédrales
Écouter cette merveilleuse poésie en chanson
Me provoque toujours une forte émotion
Lorsque je contemple la vision
De la noble cathédrale Notre Dame,
Sublime vaisseau de pierre ciselé
Qui de tous temps captive mon âme,
Sur la Seine, vitraux et secrets gardés
Dans leur alchimique creuset.
Ce n'est pas seulement d'avoir à ses côtés
Ma tendre jeunesse demeuré
Et matin et soir, sous tous ses aspects,
Avoir pu, de dos comme de face, l’admirer ...
Non, il me semble que cela vient de plus loin…
Et j’en garde encore le frisson :
Je revois la foule chantante des pèlerins
qui en longue et dense file du lointain horizon,
depuis des mois, partie de ses quatre coins
vers la cathédrale, en ferventes prières,
encore et toujours plus nombreuse affluait,
Telle à 16 ans, dans une puissante vision,
en écoutant l'ouverture de Tannahauser
du génial musicien visionnaire,
je l’ai vu, entendu et émue, dépeint.
La musique grondait et en moi résonnait
Et jusqu’au ciel ver les anges montait.