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La plus vieille énigme de l'Humanité ( Fayard)

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Quelques minutes d'images, pour présenter un livre sur les peintures pariétales préhistoriques, ( La plus vieille énigme de l'Humanité, Fayard, janvier 2013)...

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Commentaires

  • J’adhère totalement à cette théorie. C’est magnifique de l’avoir mise à jour et je me permet de vous en féliciter. Ce procédé de reproduction d’une forme d’après la projection de l’objet est encore utilisé de nos jours pour les grandes fresques monumentales, par exemple. Sauf, que l’on utilise un projecteur.
    Les “artistes” de la préhistoire ne pouvant pas reproduire les animaux par une observation  d’après nature, au fond de la grotte,votre explication met en lumière le procédé ingénieux qu’ils ont mis au point.
    Là où intervient le style et la maîtrise de l’art du dessin, c’est quand le dessinateur utilise deux couleurs avec cette élégance dans les pleins et les vides. Les pattes amincies sont aussi le révélateur du fait qu’ils avaient conscience de ce qu’est le beau dans la création artistique. Merci de nous avoir révélé que l’enfance de l’art c’est ce petit plus qu’apporte la main d’un individu et pas la simple reproduction d’une silhouette.

  • Les auteurs de cette vidéo ont fait une stupéfiante découverte. Les peintures préhistoriques ont été réalisées en décalquant l'ombre projetée sur les murs d'animaux sculptés.
    C'est le passage de la sculpture à la représentation en deux dimensions, un moment clé dans l'histoire de l'art.
    Je m'étais souvent interrogée sur l'aspect décalqué des peintures préhistoriques mais de là à penser aux ombres....
    L'idée géniale des découvreurs est un cas d'école de sérendipité
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