klaus nomi

J'aimais beaucoup cet être frêle, écorché, cette comète que l'on a beaucoup moqué, la critique ne fut pas toujours tendre.Quelle émotion pourtant, quelle intensité dans son interprétation de cette "Cold song" de Purcell, peut-être moins académique que celle d'Alfred Deller à la même époque (dans le même univers il rejoignait Nina Hagen, que l'on a entendu dans l'Opéra de quatre sous, ou Freddy Mercury, qui enregistra avec Montserrat Caballé). Il y a 2 ou 3 semaines j'ai l'ai revu avec plaisir dans le documentaire que lui a consacré Arte. Merci pour ce rappel.

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Commentaires

Lansardière Michel 19 février 2013 at 6:42

J'aimais beaucoup cet être frêle, écorché, cette comète que l'on a beaucoup moqué, la critique ne fut pas toujours tendre.Quelle émotion pourtant, quelle intensité dans son interprétation de cette "Cold song" de Purcell, peut-être moins académique que celle d'Alfred Deller à la même époque (dans le même univers il rejoignait Nina Hagen, que l'on a entendu dans l'Opéra de quatre sous, ou Freddy Mercury, qui enregistra avec Montserrat Caballé). Il y a 2 ou 3 semaines j'ai l'ai revu avec plaisir dans le documentaire que lui a consacré Arte. Merci pour ce rappel.

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