Aménagement Sans ménagement De son environnement, L’homo parasitus Aime détruire la beauté Pour le mal de tous.
Sur le cul de la mule, L’homo parasitus accumule. Contre l’angoisse de son vide, Combler le tonneau des Danaïdes. Acculé à sa finitude, Simuler l’amplitude.
Déchet-moi, déchet-vous Déchet tout, déchet-nous Enchaînés Au point de non retour à la vie, Là où le mur du con se franchit, Dépêchez-vous de n’être qu’un déchet.
Souillez, souillez, mes frères, Vous n’avez qu’une seule terre. Bien chanceux qu’elle accueille vos pas.
Le dernier carré s’accroche La grande majorité décroche Comme on éteint la lumière Au-dessus de la cimaise Qui éclairait le tableau de la vie En commun
Recouvrant toute végétation Il avance le désert Grignotant arbre après arbre, Les rebelles qui poussaient de travers Comme ceux qui poussaient tout droit.
Désertique devient le mot scientifique À la mode de nos contrées envahies. Partout où il passe, la liberté trépasse. il a de belles nuits noires devant lui, Le désert de la pens
This reply was deleted.
Envoyez-moi un e-mail lorsque des commentaires sont laissés –
Commentaires
le désert de la pensée
Homo Parasitus
Aménagement
Sans ménagement
De son environnement,
L’homo parasitus
Aime détruire la beauté
Pour le mal de tous.
Sur le cul de la mule,
L’homo parasitus accumule.
Contre l’angoisse de son vide,
Combler le tonneau des Danaïdes.
Acculé à sa finitude,
Simuler l’amplitude.
Déchet-moi, déchet-vous
Déchet tout, déchet-nous
Enchaînés
Au point de non retour à la vie,
Là où le mur du con se franchit,
Dépêchez-vous de n’être qu’un déchet.
Souillez, souillez, mes frères,
Vous n’avez qu’une seule terre.
Bien chanceux qu’elle accueille vos pas.
Le dernier carré s’accroche
La grande majorité décroche
Comme on éteint la lumière
Au-dessus de la cimaise
Qui éclairait le tableau de la vie
En commun
Recouvrant toute végétation
Il avance le désert
Grignotant arbre après arbre,
Les rebelles qui poussaient de travers
Comme ceux qui poussaient tout droit.
Désertique devient le mot scientifique
À la mode de nos contrées envahies.
Partout où il passe, la liberté trépasse.
il a de belles nuits noires devant lui,
Le désert de la pens