Les villages où sont-ils
Qui épongeaient les larmes ?
Les maisons
Bâties par des mains nues ?
Et les portes
Qui s’ouvraient sur les visages ?
Où est l’assemblée du village
Où les frères étaient vraiment frères ?
Les fontaines
Les jardins, l’orge et le blé ?
Les chemins
Qui réjouissaient les passants ?
Où sont-elles les poutres
Des maisons ancestrales ?
Les silos à provisions
Qui enchantaient les fêtes ?
Les jarres à huile
Qui embellissaient la stature ?
Ah ! la mal aimée, la répudiée, l'oubliée !...cette culture berbère qui, tel un phoenix, renaît toujours de ses cendres ! Merci pour cette invitation à partager l'Art, les arts !
Commentaires
Bonjour Nouredine, il est joli ton poème.
Tu vois le monde est petit.
Me voilà sur ce très enrichissant site
situé dans ma ville natale où je n'ai pas grandi...
Je vais aller découvrir quels tableaux tu as présenté ici.
Les villages où sont-ils
Qui épongeaient les larmes ?
Les maisons
Bâties par des mains nues ?
Et les portes
Qui s’ouvraient sur les visages ?
Où est l’assemblée du village
Où les frères étaient vraiment frères ?
Les fontaines
Les jardins, l’orge et le blé ?
Les chemins
Qui réjouissaient les passants ?
Où sont-elles les poutres
Des maisons ancestrales ?
Les silos à provisions
Qui enchantaient les fêtes ?
Les jarres à huile
Qui embellissaient la stature ?
Merci pour ton commentaire Nadine!