"Moi, Biquet, je peux m'adonner aux rêves, maintenant que je suis à l'abri d'un odieux abandon !
Mais je ne peux m'empêcher d'avoir une pensée émue, pour mes anciens frères de misères, qui encore aujourd'hui, connaissent ce sort, ô combien traumatisant !"
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"Moi, Biquet, je peux m'adonner aux rêves, maintenant que je suis à l'abri d'un odieux abandon !
Mais je ne peux m'empêcher d'avoir une pensée émue, pour mes anciens frères de misères, qui encore aujourd'hui, connaissent ce sort, ô combien traumatisant !"