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de la série PART "game"

Chris VERRIER existe dans son œuvre , qu’elle partage dans une rétrospective depuis sa » renaissance ».A mal « Game »A « MAL »gamesA PART »GAME »Space”GAMES”Hors’ “GAME’regroupées en cinq séries dans le cadre de son projet”ART’S’GAME-Vous évoluerez parmi ses œuvres, témoins de son cheminement, d’une lecture qu’elle nous permet naturelle, spontanée et authentique.Au-delà de la sincérité elle partage ce qu’elle a ressenti et compris. Avec sa fascination et l'Amour de la vie, elle joue d’humour, parfois caustique et attise l’esprit jusqu’à permettre tous les espoirs d’une vie plus créative.Les pieds sur terre, l’esprit vif et la pertinence sont ses traits de caractère.A PART « GAME » est le résultat d’une réflexion sur l’apparence, sur l’illusion…Par ce travail, elle veut pouvoir démontrer que les apparences et les interprétations ne sont souvent que le résultat, la conclusion immédiate de la personne qui les émet..Elles ne représentent que la projection du ressenti, vécu et des peurs ou espoirs de la personne qui les soumet.Dans cette série, elle a choisi la forme du rond, ouvrant grandement le champ à l’interprétation, dans sa simplicité et dans sa symbolique.Elle a volontairement travaillé dans ce cercle les tensions, tractions, répulsions, distorsions en utilisant plusieurs techniques et médiums qui se rejettent chimiquement entre eux.Elle a utilisé un format qu’elle juge restreint (elle travaille généralement sur d' immenses formats).pour représenter la contrainte à rester enfermé dans les a priori et jugements, les interprétations…Elle laisse imaginer une planète vue de haut et loin pour certains,et/ ou laissant supposer des vues plus infimes/virales et donc imperceptibles à l’œil nu , mais qui peuvent être que supposées, aperçues qu’avec la volonté de regarder de près et donc de se pencher dans un état conscient de comprendre, d’approcher la réalité, pour d’autres.Elle s’amuse avec le « ne pas se fier à l’apparence » et « il n’y a pas qu’une vérité »Ainsi, elle nous promène de l’univers qui constitue notre environnement à la cellule même que constituent tout êtres vivants, et traite ainsi l’apparence, de l’extérieur vers l’intérieur. De ce que l’on voit à ce que l’on comprend. De ce que l’on interprète à ce qui parait être sa vérité .et joue des illusions à la réalité.Elle dit que l’Art lui permet de se remettre en prise directe avec les fondamentaux.Elle aime perturber les codes établis,Pour elle, la subversion ne passe pas forcément par la destruction des formes, mais par une façon plus fine, moins apparente de zapper le consensus.L’Art, la création comme le silence peut être une forme de méditation, une narration intérieure.Elle traite l’émotion, qui est une forme de connaissance directe du réel, qui ne passe ni par l’intelligible ni par la rationalité.Un retour vers ce qui parait être soi, vers l’intime mais qui est au contraire, après une vraie conscience de soi mène à un retour vers le collectif.L’Art, est d’après elle, le seul endroit où s’opère la rencontre du singulier et de l’universel. Elle vise en créant et en montrant son travail, à participer et permettre de reconsidérer peut être l’essentiel : la part d’humanité.Elle s’obstine à vouloir croire que la subversion n’est pas forcément scandaleuse et dit se poser la question de l’Art : »c’est déceler dans le monde ce qu’est la part irréductible d’humanité, ce qui nous lie tous par-delà les systèmes établis ».
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