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Publications de mengalviviane (8)

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La chapelle Saint Roch

Cette procession se mit en place en même temps que la procession de Notre Dame d'El Vaux. Au départ, la procession regroupait des archers, des arbalétriers et des pèlerins. Le cortège était à la foi religieuse, militaire et folklorique. Elle était l'occasion d'une grande fête populaire et se déroulait dans une atmosphère de ducasse. Les statues de Saint Roch et de Notre Dame d'El vaux étaient promenées dans les rues et ruelles de la cité. La procession connut des fortunes diverses avant d'être interdite au 18e siècle. En 1802, la procession est réorganisée grâce à une autorisation spéciale et compte plus de 30 groupes. Elle est remise en place. Mais en 1804, cette autorisation fut retirée et la procession retomba au oubliettes. En 1866, une épidémie de choléra frappe la cité thudinienne et plus précisément la ville basse. Ses habitants invoquèrent saint Roch pour qu'il protège de l'épidémie. Leur demande fut exaucée, l'épidémie se retira comme elle était arrivée. Les autorités communales décidèrent, en 1867,  de prendre en charge l'organisation de la marche Saint-Roch et de construire une chapelle  en son honneur au lieu-dit "Tienne-Trappe". L'itinéraire de la procession fut tracé en prenant en considération la rivalité entre Macas et les Catulas: Les militaires se réunissent au "chant des oiseaux" pour redescendre vers les rives de la Sambre où ils retrouvent le clergé et la statue de Saint-Roch. Ensuite, la procession se rend au Waibes avant de revenir à la ville basse. Elle se poursuit le lendemain par la visite de la Maladrie où jadis on exilait les lépreux. Depuis 1867, il n'y a jamais eu d'interruption sauf durant les deux guerres, périodes pendant lesquelles les pèlerins effectuaient le "Tour Saint Roch" pour la protection de la ville

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Le Musée du tram

Le musée du tram abrite une collection d'ancien tramways ainsi que le nombreux objets, documents et photos évoquant l'histoire des tramways vicinaux Belges ( de Thuin, Lobbes) véritable témoin historique, emprunte un itinéraire aux panoramas uniques que seul le voyageur du tramways peuvent contempler ( balade en tram). Le musée est implanté sur le site de Thuin ouest et fait partie de la SNCB qui reliait Mons à Chimay.

Lors de la visite du musée vous découvriez 100 ans, depuis la locomotive à vapeur et les remorques associées, rame mixte marchandises, dernière voiture construite pour la SNCV. En passant la motrice électrique dite standard, sans oublie les autos trains de marchandises.

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Musée de l'imprimerie

Musée de l'imprimerie

"La maison de l'imprimerie et des lettres de "Wallonie". Hébergé dans l'ancien locaux scolaire de l'école de la ville basse, le petit musée ne paie pas de mine, trop a l'étroit, il voit s'empiler les presses à platine, à bras à levier,à épreuves, les fondeuses compresseuses. L'ASBL, n'est à peu près pas subsidiée et fonctionne essentiellement avec une poignée de bénévole et personnes sur contrat ADE installé depuis 1997 à Thuin, elle bénéficie toutefois gratuitement de son local, mis a sa disposition par commune dans le cadre du développement du tourisme. Malheureusement les moyens manquent pour rénover le bâtiment, et mettre en valeur les collections s'enorgueillissent d'environ 800 casses de caractère garnies de leur contenu, d'un ensemble impressionnant de composeuses Monotype, linotype, nevatype, intotype etc... si la conservation des pièces anciennes constitue la principale raison d'être de cette ASBL, pas question d'enfermer d'enfermer les presses dans d'austère vitrine, bien à l'abri des spectateurs trop entreprenants. Ici, le principe est de faire vivre le patrimoine. Chaque machines ou presque est en état de fonctionner et les visiteurs peuvent mettre la main à la pâte. Des groupes scolaires si succèdent et tous les niveaux d'enseignement sont représentés des classes primaires,venues s'essayer à la fabrication du papier et à l'impression sur l'importante presse. Les secondaires et supérieures y découvrent quelques aspects oubliés de métiers qu'ils exercerons peut-être plus tard. Les animations ne se limitent pas au monde de l'impression. Le musée abrite également un théatre de marionnettes et organise de nombreux stages dédiés à la calligraphie, à l'enluminure, à la reliure(classique, et japonaise) ou à la dorure 

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Thuin ma ville

Thuin ma ville

Sur la hauteur de la ville, il se dresse comme un roi.

C'est notre beffroi, il trône sur sa place.

Et a ses pieds dans de nouveau locaux, l'office du tourisme est installé.

Ici chaque rue,posty,monument a son histoire.

Si toute ces pierres pouvais parler, elle en raconterais de leurs passé.

Ma ville, c'est aussi ses musée, de la batellerie, de l'imprimerie,du tram.

Ici chaque Thudiniens est fier de leur ville, les vieux bateliers parle avec amour de leurs métier.

Et n'oublions pas non les hommes célèbre qui nous ont quitter.

Roger Foulon, Maurice Desombiaux, Léonce Deltenre , Georges Henri Conreur.

Qui ont tant aimer notre ville et qui savais si bien en parler.

Oui ici il fait bon vivre.

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Musée de la Batellerie

Musée de la Batellerie

Cité batelière par excellence, Thuin possède son musée de la batellerie. Celui-ci est aménagé à bord d'une péniche, le Thudo, amarée au quai de Sambre. Elle fut restaurée par le dernier des chantiers navals encore en activité (aujourd'hui fermé), qui la construite dans les années 1950, on raconte à ce sujet que les Thudiniens furent pionniers en matières de navigation fluvial. Ce sont deux frères, bateliers à Thuin, qui furent en effet les premiers à relier Paris par les fleuves et rivières, c'était en 1835 et de cette époque jusqu'au milieu du siècle dernier, les bateliers furent le véritable moteur de l'économie et de la vie Thudinienne. Ont recensa jusqu'à 1100 bateliers ayant Thuin pour port d'attache, sur une population avoisinante alors de 5000 habitants. Sur le plan industriel, non moins de cinq chantiers naval exerçaient en bord de Sambre tandis que la ville basse toute entière vivait au rythme de la batellerie.

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Le quartier du rivage

Le quartier du rivage

En 1770 une mairie (la mairie du solval) était située environ à l'emplacement à la batellerie actuel. 

A cette époque le rivage, forges entrepôts  tributaires de la rivière. C'était aussi le quartier du foussin, faubourg du petit peuple et des manants selon les bourgeois de la ville!

La naissance de la commune du rivage, ducasse du quartier relancée en 1963 redonne un essor à cet endroit, ducasse qui n'existe plus aujourd'hui.

L'histoire nous démontre qu'une population batelière existait depuis le moyen âge.

Les engins flottants, radeaux composés d'arbres assemblés et reliés entre eux permettaient de déposer ses charges sur eaux et de les faire dériver au fil de l'eau. Par la suite des barques aux petits bateaux furent fabriquées et utilisés cependant sans habitats. 

Lorsque la canalisation fut réalisée par Guillaume d'Orange en 1828 les bateaux construits l'on été avec une cabine centrale de façon à pouvoir loger une famille.

Jusqu'à nos jours une bonne partie des bateliers retraités aiment a se rassembler dans ce quartier lorsqu'ils sont pensionnés.

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Le Beffroi

Le Beffroi

L'histoire du Beffroi de Thuin a commencé en 1638 quand les magistrats de Thuin décident de construire un nouveau beffroi pour renforcer les défense de la ville. Il est construit en très peu de temps. A côté de la collégiale et même si les chamoines y ont accès pour l' usage des cloches. C'est avant tout un bâtiment civil a la charge de la ville. C'est d'ailleurs ce qui lui permet d'échapper à la confiscation des biens à la révolution française.

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