Statistiques google analytics du réseau arts et lettres: 8 403 746 pages vues depuis Le 10 octobre 2009

Publications de PIANA Philippe (2)

Trier par

Je lance un appel à qui voudra bien l'ententre...

Restaurateur de tableaux anciens par le passé, mon parcours est une suite de créativité sans cesse renouvelée, libérant des énergies positives, afin de traduire un monde idéal tel que je l’imagine.

Dans ce cheminement de ma création, les images capturées témoignent d’une vision de ce monde où il fait bon rêver, pour fuir les mauvais aspects de certaines réalités. Dans cet esprit, je pense sincèrement que rien n’est plus beau qu’un corps nu.

 

Etre peintre aujourd’hui, c’est faire preuve d’une certaine forme d’optimisme, ou d’un esprit de résistance, mais c’est avant tout être le témoin de son temps.

A l’époque où il était et, où il est encore de bon ton de n’être qu’un « abstrait », je persiste et signe pour une peinture résolument moderne, grâce à un mélange subtil d’hyperréalisme et d’abstraction par la couleur.

Comme une station de radio se distingue à l’écoute par « sa couleur », j’affiche moi aussi « ma couleur », l’amenant au paroxysme de son intensité, jouant sans restriction avec l’ombre et la lumière.

Pourquoi le bleu ?

Qu’il soit aérien ou océanique, le bleu évoque de vastes espaces calmes et sereins. Cette couleur symbolise la paix (le drapeau des Nations Unies et les Casques bleus en témoignent), appelle à l’évasion et au rêve.

Dans la Grèce et la Rome antiques, le bleu était la couleur des dieux Zeus et Jupiter.

Le bleu possède de grandes vertus : il est calme, apaisant, pacifique ; mais il a aussi un côté plus dynamique, puisqu’il favorise la créativité et l’inspiration.

J’ai réalisé de nombreuses expositions, tant en France qu’à l’étranger, j’ai reçu de nombreuses récompenses, de nombreux prix…

 

Et, à ce moment de ma création, je constate que je ne peux pas, en plus de peintre, devenir le marchand de mes propres œuvres …

Je lance donc un appel à qui voudra bien l’entendre…

Lire la suite...

 

Réaliste ? Hyperréaliste ? Peintre figuratif comme l’on dit aujourd’hui ? Non !
Rien de tout cela.

Du réel, Philippe PIANA ne retient qu’un rêve, un
rêve de réel. La peinture a le charme du silence!
Talent sûr de lui, poignant, immédiat, virtuosité technique sont mis ici au service,
de la tendresse, de la pudeur, d’une discrétion étrange.
De chaque toile émane une magie immobile !
Les nus sont nombreux dans cette œuvre ; nus sensuels,
chaleureux, mais si lointains, si « vaporeux » dans leur précision
anatomique ! L’amour de la femme s’allie toujours à une distance
un peu mélancolique, à une tendresse marquée de respect et parfois
d’une discrète compassion. Toutes ces belles filles nues émanent
d’un rêve. « J’ai fait ce rêve étrange et pénétrant… »Onirisme et
douceur, un rien d’amertume. Femmes de rêve qui rappellent des
amours perdus, souriantes ou graves, femmes figées dans un
« instant », mouvantes et pourtant immobiles et, pour tout dire,
imprégnées d’une nostalgie de monde perdu.
Maître du trait et de la perspective, usant sans façon de la contre-plongée
chère aux peintres de la renaissance, Philippe PIANA joue avec la
proximité et l’éloignement, l’intimité et la distance.
Peintre figuratif ? Réaliste ? Sûrement pas, une fois encore ! Quelle
« réalité » possèderait ces tableaux quasi monochromes, où le brun, le bleu et le
blanc se marient, s’effacent, se retrouvent de façon subtile, si subtile,
qu’ils en sont convaincants. Ombre et lumière, précision de la forme
sont bien présentes, mais par un jeu léger, elles ne sont qu’apparences,
outils du rêve.
De cette œuvre de Philippe PIANA, ce qui enchante, ce sont ces belles
filles qui sourient et rêvent, surtout, dans un univers où tout s’atténue
comme une musique venue de très loin.
Ce peintre est d’abord un poète ! Il peint pour dire ! Et ce qu’il dit, avec
discrétion et tendresse est émouvant et beau. Toujours !

Lire la suite...