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Publications de Angelo brenez (137)

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futur

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Rêvée avant d’entrer dans les ordres,

Serais-tu destinée à répandre l’ordre ?

Je vois un vol d’oiseau d’augure,

Pas mauvais, malgré leur envergure.

Certains, je les vois attristés

D’être loin de toi, si éloigné !

A ma pensée, ne soit pas alarmée,

Je ne te vois pas recluse, ni désarmée

Devant touts ces choses de la vie,

Tes rêves, tes amours, tes envies,

Tes passions doivent être légion !

Je ne vois pas non plus en religion,

Tu t’imagines en uniforme,

Pantalon, veste cachant tes formes ?

Ce n’est ici qu’un jeu de mots,

Les profanes le trouveront idiot.

Enfin, Aset, je te préfère rêvée,

Comme ici, même dénudée !

 

 

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Destinée

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Te voilà entravée,

Par un fil enchaînée.

Attachée à mes rêves,

Pose longue ou brève

Qu’elle soit facile

Ou très difficile,

Je te veux résignée

Pour être dessinée !

 

Un peu contrainte

Toutefois n’ai crainte,

Ce n’est qu’imaginaire,

Et pas très ordinaire

Mais il y a folie

Inscrit dans nos vies.

Tu seras donc rêvée

Pour être dessinée !

 

J’ai ainsi vu ton corps

Maintenu, sans effort

Avec pour dessein

De faire ce dessin.

Il ne sera pas nôtre

Si j’imagine une autre.

Tu es donc destinée

Pour être dessinée !

 

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Pour être rêvée

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Auparavant,

 

Tombée je ne sais d’où,

Venue je ne sais pour qui,

Arrivée je ne sais comment,

Restée, je ne sais pourquoi.

 

Il y a mille et une raisons

Et les raisons sont compliquées !

 

Est-ce raisonnable d’être raisonnable ?

 

Maintenant

 

Livrée, je sais d’où,

Entravée, je sais pour qui,

Enlacée, je sais comment,

Troublée, je sais pourquoi !

 

Il n’y a qu’une seule raison

Et la raison est si simple !

 

Ce n’est pas raisonnable d’être raisonnable !

 

 

 

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Couleur de nuit

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Je ne te vois point sirène,

Je n’imagine pas la scène.

C’est un être maléfique

Tu n’es point diabolique.

Tu peux toi aussi charmer

Et nous faire chavirer,

Sans connaître les affres,

D’un prochain désastre !

 

Je ne te vois point solaire,

Sans pour cela être lunaire,

Tu inspires le soleil

Magique et pareil,

Tu réchauffes les cœurs,

Imagine la douceur,

Bien souvent ésotérique

Ou fantasmagorique !

 

Je te vois couleur de nuit,

Ça me trouble, me poursuit,

Maintenant enchaînée,

À mes rêves, mes pensées.

Et si je rêve le jour,

En pensant à tes atours,

C’est dû à ma folie,

Qui nous réunit, nous lie !

 

 

Je te vois, ainsi faite,

Sans aucun complexe,

Te livrant corps et âme,

Te déclarant une femme.

Sans aucun mystère,

Dévoilée à la lumière,

Malgré ton teint de nuit

Qui me trouble, me poursuit !

 

 

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Baiser de sang

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Tel un baiser de sang,

Vous avez épousé un pays

Sans être dans le rang,

Vous avez toujours désobéi.

 

Vous n’êtes pas en visite

Mais y êtes bien encrée,

Dans ce pays composite,

Vous vous êtes adaptée !

 

Refusant cependant

D’être  sous la contrainte

Tout en composant,

Vos idées, vos craintes !

 

Malgré tout attachée

À votre Afrique lointaine,

Toujours dans vos pensées,

Vous la refoulez, sereine !

 

Vous êtes surréaliste,

Compliquée, sans l’être

Parfois, très réaliste

Sans le reconnaître !

 

Comment vais-je pouvoir

Vous rêver, vous si évasive,

Voler votre âme, la voir

Dans cette pose lascive !

 

Sans aucun toucher,

Ce fil nous relie maintenant,

Un pacte vient d’être fait

Même sans baiser de sang !

 

 

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Noire de peau, au pays des plumes blanches

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Vous êtes dans vos pensées et vos mots précédents me font imaginer lesquelles !

Les mots sont parfois les blessures du silence mais ils peuvent en être les remèdes !

Les regards en disent plus long que de longues phrases mais les silences aussi !

Noire de peau au pays des plumes blanches, vous êtes différentes et normal, les regards se font mais vous troublent parfois !

Leur sourire cache parfois des mots désagréables à entendre. Vous le savez maintenant, blanc ou noir, un masque est un masque !

Entre nous deux, facile, un regard, vous me dites cela, vous fermez les yeux, vous m’avez dit ceci !

Pour les autres, mieux vaut parfois que ces regards ne soient pas accompagnés de mots.

Noire de peau, au pays des plumes blanches, vos atouts en évidence, certains craignent de noircir leurs ailes, pourtant, ceux-là, il y a longtemps qu’elles sont grises.

 

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Telle que

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Vous aimez Venise, ville éternelle !

Venise épique avec ses mystères, ses intrigues, chaque ruelle, chaque pont imagine des arcanes !

Venise, ville d’eau, pas de cure mais de vie !

On s’y déplace, on s’y rencontre, elle vous entoure, vous protège.

Vous sortez des ondes, demoiselle, telle une nymphe !

Vous apparaissez la nuit, votre couleur de peau la reflète mais vous serez bientôt au grand jour.

Vous aussi, intriguez, vous aussi, êtes mystérieuse !

Ce rapace, cet oiseau de nuit représente la sagesse.

Vous, sage ?

Oui, vous avez une certaine sagesse, celle de savoir ce qu’est le véritable bien, pas celui prôné par les dogmes de notre société !

A la nuit tombée, son vol présageait une heureuse nouvelle. Son silence le rendait de bon augure, son apparition n'était funeste que lorsqu'il chantait.

Votre silence est rare mais vous ne chantez pas !

Avouez que ces métaphores sont des euphémismes !

Je vous préfère non sage, noire de peau, point nymphe que vous chantiez ou pas mais au grand jour !

 

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Pudeur

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Pourquoi ce drap ?

 

Il n’y pas là de quoi avoir peur,

Bien au contraire,

Dessous, il n’y à la que vous !

 

Vous êtes vous reconnue ?

 

Il n’y a pas là de fausse pudeur,

Point de mœurs légères,

Dessous, il n’y a là que vous !

 

Vous êtes vous reconnue ?

 

Il n’y a pas non plus de leurre

Encore moins de mystère,

Dessous, il n’y a là que vous !

 

Vous êtes vous reconnue ?

 

 

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En attendant

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Je te salue, Lilou et en attendant ton passage avec cette autre égérie, je t’ai dessinée avec lenteurs, je l’avoue. Actuellement, ce sont des vacances, des moments où mes rêves posés sur le papier se font rares et pas souvent ésotériques. Tu es quand même posée sur le papier et je vous attends. En espérant que cette autre égérie soit, elle aussi, représentante de la grâce, du charme, du délice, de l’envoûtement, des sensations, des sens… Enfin, une femme, tout simplement !

  

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Le masque

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Cette ville merveilleuse, à l’ambiance mystérieuse quoiqu’elle fasse, perdrait la face, à vouloir ainsi paraître quand il te suffit d’apparaître !

Ton regard estompe tout, tes superbes yeux, Lilou, lui vole la place et les intrigues s’effacent !

J’en en oublie le décor et j’imagine ton corps, tu es là, sur un balcon en face de ce superbe lagon.

Même ces autres muses me lassent et m’amusent, prennent des poses inutiles et en deviennent futiles !

Ta parure imagée évoque, une toute autre époque, celle de ces mystères, où naissent ces chimères !

Comme en ce temps tu as un masque, mais un sans aucune grimace et il te va bien ce loup, il te ressemble, Lilou !

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Lilou, te voici, te voit loup!

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Nulle autre que toi ne mérite de porter ce masque, tu joues avec l’ambivalence !  

Tu es une énigme à toi seule mais ce n’est pas un secret, tu animes nos sens !

Enracinée jusqu’au bout des ongles dans ta magie érotique, chaque pose provoque cette sensualité exacerbée !

Tu pénètres chez moi apparaissant comme une femme prude et tu es loin de l’être. Tu es mystère, même dans la cité des doges, tu ne porterais point la toge, tu t’en serais vite débarrassée. Un jour de carnaval, où les parures sont extravagantes, la tienne ne serait pas jetée au grès de ton lancé mais enlevée langoureusement, au rythme d’une musique choisie… Justement, pour animer nos sens !

Secrète au premier abord, sans te connaître on t’imaginerait comme toutes ces dames, portant le masque, ce loup, pour cacher qui elles sont mais toi, tu le garderais sans doute aussi mais, pas le reste !

De face, de dos ou de profil, en un mot tu es… Lilou, te voici, te voit loup !

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Et le vent les emportera

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Vos chairs apparaissent mordorées,

Aux expositions ensoleillées

Et là, vos fans, s’enflamment,

Brandissant vos oriflammes !

 

Volutes intemporelles

Vous désignant, belles.

 

Elles vous mettent en valeur,

Affichant une certaine douceur.

Mais ce pourpre vous sied,

Et vos fans, sont à vos pieds !

 

Métaphore houleuse,

Vous qui êtes, charmeuse,

 

Parlons de vous en leur nom,

Ne connaissant même pas leur prénom

Ont-ils une petite chance

De recevoir une simple audience ?

 

Demande intemporelle,

Vous avez fermé vos oreilles !

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Caresses

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Ces caresses de mains qui s’envolent vers d’autres peaux, vers d’autres chairs !

Ces caresses qui ne seront plus miennes qui ne seront plus vôtres !

Ces caresses qui ne seront plus faites qui ne seront plus nôtres !

Ces caresses de mains qui s’envolent vers d’autres peaux, vers d’autres chairs !

Ces caresses, les vôtres, les miennes, les leurs qui sont faites d’aimer !

Ces caresses rêvées qui font peur d’être oubliées à tout jamais !

Ces caresses de mains qui s’envolent vers d’autres peaux, vers d’autres chairs !

 

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Fenêtre sur...

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Vous êtes vous reconnue, Mademoiselle ?

Voilà une décennie que je vous survole !

Nous nous voyons couramment, pas de façon assidue mais dix ans que je vous rêve. Par intermittence mais en revoyant mes rêves où vous êtes posées sur le papier ou la toile je ne peux m’empêcher d’encore vous rêver !

Ici, de simples esquisses, de vagues souvenirs et vous voilà de nouveau rêvée.

 

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Ephémère

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Un conte comme bien d’autres, une histoire d’amour !

Hier, le ciel était bleu et rien n’allait !

Était-ce l’hiver, l’arbre semblait mort, ces oiseaux noirs vous semblaient de mauvais augures, tristes ?

À votre approche, ils se sont envolés, semblant sortir de votre vie, ils en sont devenus blancs, des oiseaux de bonnes nouvelles, de joie !

Aujourd’hui, le ciel est gris et là, l’arbre semble prendre vie !

Au sol, ce ne sont que feuilles mortes mais elles renaissent dans ce ciel gris, deviennent de jolis papillons !

Étais-ce un rêve ?

Et oui, le conte est déjà fini et comme souvent, les beaux contes se terminent comme les histoires d’amour, ces histoires qui sont souvent comme ses papillons, belles mais éphémères !

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Racines

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Que vous veniez du Nord, du Sud, de l’Ouest ou de l’est, vous vous nourrissez tous, du sang de la terre !

Essayons qu’elle soit moins sombre et toujours nourricière !

 

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L'indifférence

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L’indifférence.

 

Vous avez votre confort,

Vous pratiquez votre sport,

Vous vous sentez fort,

On envie votre sort.

 

Indifférence minime.

 

Vous pratiquez une religion,

Vous vénérez votre nation,

Vous respectez les traditions

Et ne posez pas de questions ;

 

Indifférence divine.

 

Voue êtes heureux,

Vous faites des envieux,

Vous entre dans le jeu

D’un monde peu scrupuleux.

 

Indifférence anonyme.

 

Vous êtes entourés de misères,

Vous constatez quelques guerres,

Vous ne pouvez rien faire

Pour la faim d’un pauvre hère.

 

Indifférence unanime.

 

Vous subissez l’intégrisme,

Vous supportez le racisme,

Vous vivez le fanatisme,

Cela nous amène au fascisme.

 

Indifférence ultime.

 

Vous êtes effrayés,

Vous avez été choqué,

Vous avez un jour regardé

Mais vous n’avez pas bougé.

 

Indifférence assassine.

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Les mots

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Catou, les mots, vous les jetez sur le papier au grès de vos envies. Ce sont de simples mots destinés à expliquer vos rêves, vos fantasmes, vos manques d’aimer, vos exigences, vos labeurs, vos loisirs, vos… En moins de mots, vos joies, vos peines !

Vous semblez sorties d’un livre tant vous en abusez. Pas d’un roman policier, ni historique, disons d’un comte. Mais un conte pour adulte !

Votre surnom déjà, Catou, semble tiré de ce genre de récit. Si j’ai dit d’adulte, c’est que nos échanges écrits sont fait de ce langage mûr. Sans vous occuper des points, des virgules, vous allez à l’essentiel, votre écriture est virtuelle !

C’est en pensant à une autre dame que j’ai dessiné des livres s’envolant, tels des oiseaux ; des oiseaux de passage qui ne s’arrêtent que le temps d’un écrit, d’une lecture. Elle aussi à un surnom, presque semblable au vôtre, Fanou !

Décidément, elle aussi vit dans le monde de l’art et elle aussi à la tête remplie de rêves !

Sûrement d’autres que les vôtres mais avoir des rêves, n’est-ce pas merveilleux ?

Moi, je ne saurais pas vivre sans et j’aime fréquenter ceux qui en ont énormément !

Rêvons !

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Osons

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Madame, vous avez osé me faire croire…

Madame, vous avez osé me lire…

Madame, vous avez osé me laisser faire…

Madame, vous avez osé me tenter…

Madame, vous avez osé me dire…

Et, bien…

Madame, j‘ai osé vous faire croire…

Madame, j’ai osé vous lire…

Madame, j’ai osé vous laisser faire…

Madame, j’ai osé vous tenter…

Madame, j’ai osé vous dire…

Mais maintenant…

Madame, nous avons osé y croire...

Madame, nous avons osé le lire…

Madame, nous avons osé laisser faire…

Madame, nous avons osé nous tenter…

Madame, nous avons osé le dire…

Et bien voilà…

Madame, si vous aviez osé, si j’avais osé, si nous avions osé, ils se seraient envolés…

Madame, si vous aviez osé, si j’avais osé, si nous avions osé, je serais resté…

Madame, si nous osions vraiment…

 

Ce tissu rouge… Danger ?

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