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Depuis les années soixante et le développement de la société de loisirs, le musée est convoqué, instrumentalisé diront d’aucuns, au service d’une politique économique, voire d’intérêts privés.

Ces mutations, notamment de l’engagement financier public, sans lui enlever ses missions traditionnelles, le mettent face à des choix cornéliens que ses moyens financiers ne lui permettent pas d’assumer : la tentation est grande alors de « valoriser » les collections dans le sens vénal du terme : la question de la marchandisation des œuvres d’art et de l’inaliénabilité des collections publiques est partout en débat.

Le fait de considérer un musée, non comme un service public, mais comme un outil au service de l’économie, relève de la même logique.

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