l'art d'aujourd'hui

patricio vilanova 17 février 2010 at 7:24

Je suis d'accord, mais cette recherche devraient être compatibles avec la véritable essence de l'art, le sentiment.
L'impressionnisme, le cubisme, dadaïsme, surréalisme, et bien d'autres, ne sont pas seulement de la demande, sont aussi des certitudes avec émotion.
Pauvre est l'art stérile, vide de sens.
merci mon ami

Bettonville Raymond a dit :

L'art est recherche... uniquement...

patricio vilanova 16 février 2010 at 2:23

mon cher, tout ça! l'art est orpheline
sans essence, vide.
merci
HUYNEN Valérie a dit :

Patricio,
Je ne suis pas certaine de comprendre ta question.
Veux-tu dire que les sentiments deviennent absents des formes d'art aujourd'hui?
Qu'on s'attarde juste sur des formes ou des couleurs (la forme) sans intention de transmettre un sentiment (le fond).
L'artiste se couperait de toute volonté d'emmener l'observateur avec lui dans sa démarche créative.
Ce n'est pas un peu nombriliste de livrer en pâture son art et de laisser les gens se débrouiller avec leurs émotions ?
Si l'artiste n'est pas présent, ne vit pas avec son oeuvre, et ne se projette pas avec celle-ci, je ne vois pas où se passe la rencontre. On crée pour rencontrer l'autre, non ? Pour exister, pour ne pas être isolé ?
Des artistes qui zappent cette dimension de la rencontre avec autrui sont des artistes orphelins.
Les oeuvres qu'ils engendrent sont orphelines elles aussi.
Si l'art d'aujourd'hui est ainsi, c'est d'une tristesse insondable...
Voilà le seul sentiment que cela m'évoque.

patricio vilanova 16 février 2010 at 2:20

Picasso l'a dit ... "tout l'art est un mensonge qui nous aide à comprendre la vérité ...
merci mon ami.

Bettonville Raymond a dit :

Voudrais-tu dire qu'on possède une certaine vérité ?

HUYNEN Valérie 12 février 2010 at 10:56

Patricio,
Je ne suis pas certaine de comprendre ta question.
Veux-tu dire que les sentiments deviennent absents des formes d'art aujourd'hui?
Qu'on s'attarde juste sur des formes ou des couleurs (la forme) sans intention de transmettre un sentiment (le fond).
L'artiste se couperait de toute volonté d'emmener l'observateur avec lui dans sa démarche créative.
Ce n'est pas un peu nombriliste de livrer en pâture son art et de laisser les gens se débrouiller avec leurs émotions ?
Si l'artiste n'est pas présent, ne vit pas avec son oeuvre, et ne se projette pas avec celle-ci, je ne vois pas où se passe la rencontre. On crée pour rencontrer l'autre, non ? Pour exister, pour ne pas être isolé ?
Des artistes qui zappent cette dimension de la rencontre avec autrui sont des artistes orphelins.
Les oeuvres qu'ils engendrent sont orphelines elles aussi.
Si l'art d'aujourd'hui est ainsi, c'est d'une tristesse insondable...
Voilà le seul sentiment que cela m'évoque.

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