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ADMINISTRATEUR GENERAL

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Et à titre d’information voici les quatre prochaines expositions:

 

-Titre : « La collection permanente à l’espace Yen »

Artistes : collectif d’artistes de la galerie.

Vernissage le : 07/09/2011 de 18 h 30 à 21 h 30 en la galerie même.

Exposition du 07/09 au 30/10/2011à l’Espace Art Gallery II.

 

-Titre : « Sortie de placards et Sortie de coulées »

Artistes : Martine Macquart (peintures et boîtes peintes) et Telque (sculptures en bronze).

Vernissage le : 19/10/2011 de 18 h 30 à 21 h 30.

Exposition du 19/10 au 06/11/2011.

 

-Titre : « Les Interpolations d’Henry Pouillon »

Artistes : Henry Pouillon (peintures et gravures). Exposition personnelle.

Vernissage le : 09/11/2011 de 18 h 30 à 21 h 30.

Exposition du 09/11 au 27/11/2011.

 

-Titre : « À Contre - courant et les choses de la vie »

Artistes : Beauvir Le Darz (peintures), Catherine Loubinou (peintures et encre de Chine), Sylvie Samy (peintures) et Jacques Thuillier (sculptures).

Vernissage le : 30/11/2011 de 18 h 30 à 21 h 30.

Exposition du 30/11 au 24/12/2011.

 

 Au plaisir de vous revoir à l’un ou l’autre de ces évènements.

 

Bien à vous,

 

                                                                  Jerry Delfosse

                                                                  Espace Art Gallery

 

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Chroniques du Roi-Dormant

J'ai flâné tout un jour en vos places royales

Puis j'ai, en la feuillée de vos rouges Chroniques

Inspiré l'air du songe et cueilli le pétal

La lumière était douce et le silence égal

Et j'ai encor frémi au souvenir ardent du roman héraldique.

 

Je vous suis pas à pas et j'apprends la patience

J'interroge l'azur et j'éprouve en silence

La droiture d'un vouloir que je connais à peine

Navire à marée basse en mal de capitaine

Echo revenant à l'aîné qui ensemence

Mon âme est une conque où résonne l'Antienne.

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Prémices d'un amour naissant

 

     Elle :

 

Que dire, que faire

Pour combler le vide d'un moment

Dans l'attente improbable

Qui coule ses jours nouveaux

Dans le lit du temps ? ...

 

Dans l'espoir chancelant sur ses bases viscérales

Espoir d'une attente justifiée

Attente d'un espoir qui soit réalité

Qu'une vie se révèle à nouveau

Découvrir ces horizons et mon entier

La complémentarité du bancal ...

 

     Lui :

 

Ouvrir, refaire !

Assujettir le vide

Et le moment crucial

Partir mais demeurer

Ivre de soif et fière

Rarissime rosée affleurant au désert

Le drap léger d'un lit, évanescent pétal

Contre la lourde frappe, contre la horde calme

Pour toujours chanceler

Follement !

Espérer, respirer d'un même mouvement

Vivre les yeux ouverts

Et saisir le moment où toutes se résolvent

Où tous absolument

Franges d'un horizon moitié ciel moitié terre

Coïncidente éclipse au rayon vertical

Retrouvent frémissant l'Orient-occidental.

 

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Une petite lumière

 

            

 

Une petite lumière filtre des ombres chinoises, une petite lumière se cogne contre la vitre, elle est ronde et plate, une petite lumière rayonne le long de la fente, tremble et tourne en rond. N’es-tu pas aveuglée quand elle mord la peau les dents serrées dans le silence qui déborde.


Une vie tourne derrière toi, minutes vagabondes il y a l’arbre qui s’élance dans le vide, pour rester debout il tend ses bras, serre ses feuilles contre son cœur que la sève veut lui ôter. Ne m’arrachez pas la langue qui court sous la peau et les fourmis qui me sucent, le vert de mes yeux par endroits presque morts.
 

C’est comme un incendie le ciel quand on lève la tête, c’est comme une veine qui fuit les ombres qui s’allongent, cela sent le pain grillé quand on foule le sol et le fer, cela craque sous la dent la peau endurcie que la saison veut éteindre, tout respire une lente agonie majestueuse avant de s’éteindre.


Il n’y a plus d’orage au moment où les araignées tissent leur toile entre deux arbres, petites bêtes en suspension il y a de la dentelle et des colliers de perles blanches qui flottent au vent et un point noir aux mâchoires crochues.

J’ai vu se former les fils sur le bord du banc mon cerveau assis sur le banc d’à côté, j’ai vu se former la rosée, nous sommes deux autour de la table, je veux dire un monde où l’on a vécu la gorge tranchée souvent dans le même lit.


Une petite lumière clignote pour les fous et bénit les jambes autour de l’arbre deux fois centenaire, une petite lumière dessine à la craie les arbres à abattre, l’herbe à raser dans un carré de silence, rai de lumière assassine. Enlace-moi dit l’arbre les mains ne mentent pas, étrangle-moi autour de ton cou avant qu’on ne me frappe. La vie nous abandonne, il n’y a pas de pont où se jeter et ressusciter, Paris où coule la Seine est un autre lieu rempli de voitures où il ne fait pas bon dormir.


J’ai tourné en rond autour de mon lit fuyant la lumière, la rivière et ses forêts, j’ai tordu les draps source de la lumière, j’ai fermé les yeux source de la fente, j’ai débranché le cerveau source de l’espérance, il était trois heures du matin quand les ciseaux ont coupé la lumière.

 

 

 

B - 03-10-2011

 

 



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La grande dame répudiée

Aux ex-éditeurs de poésie

 

Les poètes de douce France

Ont laissé un riche héritage,

Non altéré au cours des âges,

Source de pures jouissances.

 

Pour que leurs oeuvres nous parviennent

Il fallut les faire imprimer.

Parmi tous ceux qui les aimaient,

Le sort fit agir des mécènes.

 

Nombreux étaient les éditeurs

Glorifiant la poésie.

Or vint le temps de l’hérésie,

Des illuminés, des farceurs.

 

- Désolés, on ne publie plus!

S’entendent dire les poètes.

Pourtant, il convient que l’on fête;

On peut célébrer de bon crûs.

 

Le beau parler est de retour,

Rajeuni, plus libre, peut-être,

Engendrant un joyeux bien-être.

La poésie des anciens jours!

 

Lors, messieurs, les éditeurs,

Il conviendrait d’ouvrir vos portes,

D’accueillir les dons qu’elle apporte.

Ce geste vous ferait honneur.

 

5 octobre 2011

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Je te prendrai

 

 

A la tombée de ce jour si lourd


je te prendrai, avec passion


et ton soupir sera pour les sourds


comme une supplique sans sons.


L'attente interminable, sublilme attente


qui attise le désir à en mourir,


Oui, l'attente opère son oeuvre charmante.


Ce soir, en toi tu m'entendras jouir.

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Mort de l'Homme

 

 

 

Et où que mon regard se porte
Ce n’est que désolation
Abîmes et déraison.
Des crânes débordant d’absurdités
Des yeux qui sont en pâmoison
Sur des futilités,
Comme si le monde
Avait un jour
Lâcher la corde
Qui l’unissait au ciel,
Ultime secours.
L’homme n’aime pas l’éternel
Il sommeille, ivre de léthargie,
Gris des vins fades venus de ceps
Que Léviathan a embelli
Sarclant les pieds fragiles de ses forceps.

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Bonjours à toutes et tous ,

 

A l'appoche des prochaines expos ce n'est pas le travail qui manque , donc ... je vous ai un rien délaissé SORRY :-(

Mais vous connaissez la  musique pas vrais !!! ;-)

Mon dernier tableau est enfin terminé ... ouf ... il me quitte pour quelques temps car samedi je vais le déposer

 

( ainsi que les 2 tableaux précédent ) pour l'expo concours a la tour du château d'Oupeye .

Je vais de ce pas mettre ma galerie à jour et vous envoyer les dernières infos .

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Je suis

Je suis

 

Atypique

Bordélique

Colérique

Despotique

Ecclectique

Famélique

Gnostique

Hystérique

Illogique

Juridique

Kaliédoscopique

Laconique

Maléfique

Neurasthénique

Oblique

Pathétique

Quantique

Relique

Sarcastique

Toxique

Utopique

Volcanique

Wisigothique

Xénoplastique

Yttrique

Zygomatique

 

Alors que je voulais simplement être

 

CANTIQUE;

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Candide

Il y a quelques temps déjà, j’ai rencontré Candide. Elle souriait. Lui demandant si elle permettait que je reste un peu en sa compagnie, elle ne répondit pas. Elle me regardait. Je tournai la tête pour analyser les alentours. Quel phénomène ou qui pouvait faire sourire cette charmante personne. Je ne vis rien. Revenant à la jeune femme, je vis que son sourire était offert. Je me demandai s’il était honnête d’en prendre un peu. En personne bien éduquée, je lui demandai la permission de m’approvisionner à cet éclat si généreux. Elle se mit à rire, je pris cela pour un consentement. Curieuse, j’aurais voulu savoir d’où elle venait. Le soleil dans mon dos progressait vers l’ouest. Je ne pouvais pas rester plus longtemps et Candide ne paraissait pas disposée à me répondre. Avait-elle compris mes paroles ? Parlions-nous la même langue ? Bredouillant une excuse, je m’arrachai à ce sourire si chaleureux et lui promis de revenir.


Depuis, chaque matin, je m’arrête et elle est là. Est-ce moi qu’elle attend ?


Les jours qui suivirent cette première entrevue, furent tous identiques. Un matin, alors que je répétais toujours la même demande quand à son origine, elle se mit enfin à parler.


Tu veux savoir d’où je viens ? Pourquoi ? Je n’ai pas de réponse. J’ignore d’où je viens. Je me suis trouvée là, aussi étonnée que tu ne l’étais. Après ton départ le premier jour, j’ai cherché des souvenirs. J’ai élimé ma mémoire espérant y trouver quelques indices. Je ne voyais qu’une confusion de couleurs surnaturelles. Ce n’était pas la couleur des fleurs, ni celle des bêtes, ni même celle des hommes. Il y avait tant de brume, de membres intriqués, des voix sans paroles sensées. Il y avait aussi des rires vulgaires et gras. J’ai cru reconnaître des senteurs nauséabondes. Comme toi, j’ai demandé qui ils étaient. Je n’ai pas compris leur réponse. Ils étaient trop nombreux et le chœur mal accordé cracha des mots incompréhensibles. Cacophonie, si je me souviens. Vois-tu, j’ai oublié tant de mots. Parfois, il m’en revient certains. J’ai préféré ne plus retourner dans cet angle obscur. C’est tellement beau et bon ici. Tout est nouveau, tout est frais. Je ne cherche plus à savoir d’où je viens. Cela ne doit pas être important si je ne m’en souviens plus. Et toi, d’où es-tu ?


Je me mis à sourire. Quelle question étrange ! Je suis d’ici, cela me paraît évident. Que ferais-je en cet endroit et à cette heure si je n’étais pas d’ici, si je n’appartenais pas à cet environnement.


Le temps, encore une fois, le soleil court vers l’ouest. Je dois partir comme chaque matin. Je la laisse là avec son sourire. J’emporte le mien, né du sien. Je sais que demain, je la reverrai. Maintenant, la glace est brisée. Nous avons communiqué. Nous avons la vie pour répondre à toutes les questions qui nous trottent en tête. A demain Candide. J’aime ce prénom que je t’ai choisi. Je m’éloignais déjà quand j’attrapai sa question :


c’est quand demain ?


Je n’avais plus le temps, elle comprendrait demain.Entêtée, quand je la revis le lendemain matin, elle fut la première à parler.


Dis-moi, c’est quand demain ?

Nous y sommes arrivées, c’est aujourd’hui.


Je ne comprends pas. Demain, c’est aujourd’hui ? Donc tu ne me quitteras plus ?


Candide, après aujourd’hui, il y aura une infinité de demain. Et nous pourrons nous voir chaque nouveau demain.


Si tu veux ! Moi, je préfère aujourd’hui. Parce que tu es là et que je peux te sourire.


Douce Candide, tous les jours, c’est aujourd’hui. Donc ne cherche plus ce qu’est demain. On n’est jamais demain. Je viens de m’en rendre compte. On n’est jamais qu’aujourd’hui. Peut-être, avant que je ne rencontre ton sourire, y avait-il des demain ; en cet instant précis, je ne sais pas plus que toi ce qu’ils étaient. Ils sont devenus des hier probablement.


Des ‘hier’ ? Tu es très compliquée. Parle plus lentement. Explique-moi ce que sont les ‘hier’.


Candide, ce n’est pas simple. Non, en fait, c’est très simple, c’est étonnamment simple. Hier, c’est quand ton sourire ne croisait pas mon matin. Hier, c’est quand je me regardais dans la glace et je ne m’aimais pas. Hier, c’était un peu comme maintenant quand je me sentais si triste de l’image dans la glace qui……………………me répondait………..triste……Candide ? Candide ????? Mais où es-tu ? Ne pars pas, ne t’en vas pas ! C’est toujours moi qui te quitte, emportant ton sourire pour la journée. C’est toujours moi qui suis triste quand je viens pour te dire bonjour. Candide !!!!!!!!!!!! Réponds-moi, s’il te plaît, réponds-moi……..Non !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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J'aime bien vous dire "vous"

Tutoiement romantique et un peu suranné

Etre proche, être là, presque se tutoyer

Mais sans pourtant franchir ce voile étrange et doux.

 

"Vous", c'est l'intimité couronnée de respect

Se toucher à travers un rideau de brouillard

Une proximité où l'on ne sait jamais

Qui posa le premier ce tapis de brocard.

 

Ainsi dans l'antichambre à chaque rendez-vous

Chacun riche de mots, de musique et d'histoire

Ni chez moi, ni chez vous, nous posons à genoux

Nos émerveillements, heureux de recevoir

 

Tu donnes et je vous offre au pluriel singulier

S'il advient quelque jour que nos mains se rencontrent

Ce sera toujours vous et je n'aurai pas honte

De rester romantique pour vous saluer.

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LA VERITE DES APPARENCES

12272762280?profile=originalLa vérité???? c'est toujours une chaussure !! la vérité de ce moment là comme une suspension de la pensée et du regard Une vérité rencontrée

" Le sceptique est le désespoir du diable C'est que le sceptique n'étant l'allié de personne , ne pourra aider ni au bien ni surtout au mal .Iil ne coopère avec rien , même pas avec soi-même " dit Cioran (Cahiers 1957 -1972)

Propos désabusé??? non lucide d'un réalisme cruel (Suite à une conversation devant des évidences ) tout en admirant cet aristocrate du doute

 

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Remerciements

Bonne journée à tous!

Je tiens à remercier chacun de ceux qui ont pris le temps de me laisser un court message d’amitié. J’apprécie de savoir que mes poèmes sont lus avec attention.

À bientôt!

Suzanne

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Lueur

Je suis comme un fil de cristal

Aussi fragile et aussi éphémère

Je ne supporte rien que la brise légère

La rosée matinale

 

Les bruines obstinées me frôlent me caressent

Les rayons du Levant m'éveillent en splendeur

Me traversent avec une infinie délicatesse

Et je sais qu'il est l'heure.

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Nouveau.....!...Stage du Lundi 04 au Vendredi 08 Juin 2012                    ''' ENTRE POESIE ET ABSTRACTION ''
           PAYSAGES AUX FRONTIERES DU REVE         
                           www.closdelandevallee.com

                                            
               Animation /  Jean Claude Baumier  http://jcbaumier.com

       Réalisation / Création d'oeuvres sur le très beau site du pays Bigouden en Bretagne Sud ( France )

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Monographies proposées par

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12272760090?profile=original                    Jean Paul Bodin  (peintre  -  France)

 

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Patrick de Sagazan
 (peintre - France)

 

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Dan Montelet
  (peintre maquettiste - France)

 

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Emma Lapassouze
  (peintre - France)

 

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Behrouz Riahi, photographe
  (photographe - Belgique)

 

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Muriel Cayet
  (peintre  - France)

 

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61ème Salon du cecle d'art Eugène Simonis

Le cercle d'Art réputé EUGENE SIMONIS organise son 61ème salon annuel (et 61 ans déjà) . J'ai été invité à y exposer quelques œuvres. Je vous invite tous à venir découvrir ce salon lors de son vernissage ce vendredi 7 octobre à 20h, 12272761661?profile=original Bld Leopold II, 1081 Koekelberg. Marc Barbay

 

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flo mater

Une maternité chez Gegout.. on aura tout vu.. Pourtant elle est là sous jacente. Venue comme ça..! Faut dire qu'avec cette fascination pour le sein, je ne pouvais pas éviter trop longtemps cet amalgame entre sein et maternité..!

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1er état de Flo Mater

flo mater

2ème état de Flo mater 160 x80 acry sur toile avec marouflage

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"Line code ou l'étrange guide des relations amoureuse" de C. Linda Mour.

 

Résumé:

Si les moments partagés avec l’être cher sont censés représenter une source de bien-être, de sérénité, ou encore de synergie, certaines relations peuvent également se transformer en cauchemars lorsque le « Nous » ainsi formé est affecté. Ruptures, divorces, malentendus, jalousies, absence de confiance, toutes ces caractéristiques appartenant aux relations amoureuses douloureuses ont un impact direct sur la qualité de la vie d’une personne quelque soit son sexe, quelle que soit son attirance sexuelle, ou encore son âge, la poussant souvent à ne plus croire en elle, donc en l’autre, et parfois même en l’amour. Mais les lamentations et le rejet total de la faute sur l’autre n’ont jamais été une source de réussite et d’évolution, au contraire. Un nouvel angle de vue s’impose alors, et c’est à travers la formulation par le « JE » qu’un début de changement peut s’opérer. En effet, et si nous disposions de certaines cartes pour mettre un terme à des schémas qui se répètent ? Que signifie le mot « NOUS » souvent employé par les couples ? Le « Nous » ne serait-il pas la résultante de la somme des « JE » engagés dans une relation ? Par définition, dans le calcul d’une somme, l’une des trois conditions fondamentales est que les objets ne doivent pas perdre leur individualité lorsqu’ils sont réunis.Aussi, dans un couple, la condition pourrait être analogue. Oui, et si les protagonistes de la somme de « JE » + « JE » avaient chacun une part de responsabilité dans ce qu’il arrive à ce « Nous » qu’ils ont crée ensemble? Ce serait fantastique, non ? Parce que cela impliquerait aussi que chaque « JE » aurait alors le pouvoir de changer les choses, à sa guise.

 

Nouvelle sur cet espace, je me lance dans le partage d'un livre assez surprenant que j'ai découvert récemment.

Édité par une petite maison d'édition basée en region parisienne :éditions CRC-PIE (Communication Résonance Connaissance pour l'Indépendance de l'Esprit), il s'agit du dernier livre de C. Linda Mour, "Line Code ou l'étrange guide des relations amoureuses" (également auteur d'un autre roman intitulé "Des Désirs et Des Ailes").

"Line Code ou l'étrange guide des relations amoureuses" est un roman dans lequel, au début,  j'ai eu un peu de mal à me plonger. Mais au fil des lignes et, des pages je me suis sentie complètement aspirée par cet ouvrage.

C'est une drôle d'invitation à l'introspection de nos émotions, nos sentiments et surtout nos motivations réelles à maintenir l'harmonie dans notre relation de couple.

Différentes situations sont exposées au travers de l'histoire des principaux personnages de ce livre. J'ai eu de grands moments d'éclats de rire et des instants ou je n'ai pu retenir l'océan de larmes qui m'envahissait malgré moi. Je suis encore assez pensive...pensive quant à ce style d'écriture que je trouve assez nouveau par rapport à mes gouts habituels...Au niveau du style il y a assurément du potentiel mais il reste à parfaire...

La présentation de le livre m'a interpellée et je n'ai pas résisté à l'appel...

Qui parmi vous a déjà lu ce livre?

J'aimerais beaucoup partager sur celui-ci mais aussi sur des désirs et ailes car j'aimerais avoir l'opinion d'autres personnes qui connaissent cet auteur.

Anais K.

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