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Sur le parvis de la maison,

 

une rivière, seule,

 

et le lière frissonne.

 

Jour après jour, assise déjà devant la sculpture,

 

l’herbe se déploie.

 

Et ton rôle apparait.

 

Rêver, jusqu’au village,

 

Le chapeau vissé sur la tête,

 

le jour déclinant à peine,

 

sous une myriade de lumières.

 

Leurs variations abreuvent la caméra.

 

Vides nous sommes

 

sans ces royaumes végétaux.

 

Julien Boulier   le 18 février 2018

poème déposé Sacem code oeuvre 3434857311

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