Excellent débat de juin 2012 qui m’a beaucoup plu par sa remise en question de l’étanchéité des disciplines et la faculté de présence au présent qui caractérisent la modernité. Avec une artiste conceptuelle (Tania Mouraud) qui a brûlé toutes ses peintures en 1969 !
J’ai noté au vol quelques mots et bouts de phrases qui suggèrent cette opération continuelle de glissement qu’est l’art contemporain :
" art, fenêtre sur la vie, au-delà des objets, au-delà de toute conception... désapprendre, déplacer, décaler, élargir l’horizon... penser en dehors de la logique avec des outils visuels... en finir avec l’art comme académisme/décor, et s’ouvrir à la vie... espace américain/liberté totale... pouvoir insurrectionnel de commotion, de transformation du regard... briser la norme sans devenir le révolté de service... l’art, c’est l’humain, ici/maintenant …"
Comme autant d’éveils qui ne cessent de se faire ailleurs…
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Excellent débat de juin 2012 qui m’a beaucoup plu par sa remise en question de l’étanchéité des disciplines et la faculté de présence au présent qui caractérisent la modernité. Avec une artiste conceptuelle (Tania Mouraud) qui a brûlé toutes ses peintures en 1969 !
J’ai noté au vol quelques mots et bouts de phrases qui suggèrent cette opération continuelle de glissement qu’est l’art contemporain :
" art, fenêtre sur la vie, au-delà des objets, au-delà de toute conception... désapprendre, déplacer, décaler, élargir l’horizon... penser en dehors de la logique avec des outils visuels... en finir avec l’art comme académisme/décor, et s’ouvrir à la vie... espace américain/liberté totale... pouvoir insurrectionnel de commotion, de transformation du regard... briser la norme sans devenir le révolté de service... l’art, c’est l’humain, ici/maintenant …"
Comme autant d’éveils qui ne cessent de se faire ailleurs…
Daniel Moline