L’image d’une journée remplie
de fenêtres ouvertes sur la pluie.
Une pluie d’orage.
S’éparpillent alors les minutes sensibles.
Rivières et chemins sur un sol vertigineux.
Rouges fougères.
Nous montions sur le reflet du miroir
comme un regard perdu en divers points de nos mémoires.
L’idée que vienne alors l’idéal d’une vie aux heures abouties,
traverse la prose d’albâtre
à travers l’épaisseur d’un brouillard qui se dissipe.
A Mondeville
Le 07 aout 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3440381911
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