Tu dois élaborer patiemment les pierres sculptées.
S’impriment alors dans ton esprit les appels du vent,
les ellipses et les turbulences.
Entre une ultime réciprocité,
sous l’image des silhouettes du matin,
se cristallisent les morceaux de tes vaisseaux,
la caresse de ses persiennes.
Encore une fois, là où ton corps parle de ses scintillements,
sa voix rencontre tes yeux clos.
Depuis tant d’années,
un feu naissant et les murmures saisissants.
Julien boulier,
A Mondeville
poème déposé Sacem code oeuvre 3440381911
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