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"Le commencement, la fin d'un amour, deux instants pour ainsi dire, immortels, restent à jamais dans la mémoire""Combien, longtemps après avoir été frappé à mort, tente de revivre , demande  encore à vivre. l'amour? La ténacité qu'il y met, l'âme ne voulant plus de ce que veut  encore le corps -elle- même, la pauvre âme, se leurrant aussi -, est bien , de toutes les aventures qui nous arrivent, l'une des plus terrifiantes et incompréhensibles.

 

Gabrielle Roy- La détresse et l'enchantement

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Commentaires

  •                                            

                                                Fragilités parentales


        La peur collée là

        tout près du cœur,

        la moelle de leurs os

        les imprègne

        surtout les mères

        peut-être certains soirs

        aussi les pères

        Eux, ils en bavent,

        eux, c'est pour rire

        pour contrer leur terreur

        ils partent à la guerre

        s'arrachent les os

        et aussi la peau

        Peut-ëtre certain soir,

        même les mères

        Comme des femmes

        partent quand même

        elles en rêvent

        même dans leurs cauchemars

        font d'elles,un homme

        et deux femmes

        voilées et sans voile.

        Issue vitale

        non fécondée

        n'ont pas pu crier

        tu me violes

        ont résisté

        se sont battues

       même les femmes

       même les enfants

        Mon petit, mon  chéri

        ne pars pas

        sans me regarder

        leur placenta, avalé

        maudit soit le sang

        fausses églises

        et chastes pédés

        Certaines mères 

        ont peur des enfants

        plus encore des leurs

        les pères, eux ont froid

        et le cachent et rient

        art appris au berceau

        ou au tombeau.

        C.L

         18 octobre 2016

  • Une amie m'a redonné envie,( simplement  en me faisant part du fait qu'elle avait  pris  connaissance  de ma participation au site  de Arts et  lettres) de poursuivre  mes activités sur ce site que j'avoue avoir un peu délaissé à cause de grands  bouleversements dont un déménagement très dépaysant. Je pense ce soir à un merveilleux film se voulant  le  récit de la vie  de Gerges Sand; Les enfants  du  siÈecle

    L'absence  et la mort

    Un  film important, une très grand  film m'a beaucoup marquée comme rarement un film ne l'a fait auparavant et même par la suite..Il s'agit de Les enfants du siècle que je considère comme un hymne à l'amour  de la littérature et de la création artistique englobant absolument toute les formes d'amour..Georges Sand  qui est est le personnage principal de ce film a écrit cette phrase sans pareille:L'absence et la mort ne diffèrent pas beaucoup qu'elle adressait à son fils inconsolable  de la  savoir  mourante.On ne se quitte pas,on  se perd  de  vue mais on  sait bien que n'importe ou,on se retrouvera.                                                                               Je m'en  vais  sur mon blog  car je  constate que je  suis  dans la section pour commenter ma dernière participation à  Arts et lettres,datant  déjà de trois années.

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