Arbre, tes branches chantent l’abandon et la sagesse.
Et pourtant tu sèmes la beauté de ces visions argentées.
Si éloigné et si proche.
O toi qui bats des ailes
aux différentes variations du vent et des lumières.
Les voiles gonflées, tu suis ton chemin, comme des notes jouées
les unes après les autres,
chacune ayant son importance par rapport aux autres.
Merci pour ta neutralité.
Tu joues une partition ou une mélopée improvisée
comme un chant porté par le jour,
emporté par la nuit.
Julien Boulier le 15 février 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3434775011
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