Poètes et peintres,
à l’origine de notre langue qui sait,
vous dites ce que les mots attisent,
et de la comparaison,
ne subsiste que l’écho,
entre ombre et lumière.
Le chant du sphinx,
comme des rêves endormis,
au bord de l’eau, entiers, silencieux.
La recherche de l’inertie.
Que la couleur des reflets
parsème le regard
et s’évapore après l’averse.
Julien Boulier le 20 mars 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3436029411
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