Je voudrais – me crois-tu ? – enfin si c’est possible
Revenir en arrière au temps de ces amours
Les nôtres au début les pures les sensibles
Ma belle d’aujourd’hui d’hier et de toujours
Nos débuts coin de table et lumière du jour
Sur ton corps alangui et qui devient la cible
De mes yeux éblouis en quête d’indicible
Par le pinceau tracé en un subtil contour
La rue aux pavés gris le ciel en carillons
Parcourant de beffroi en clochers l’étendue
La ville aux toits d’ardoise et puis nous qui rions
Bohême simple - élans - nos âmes éperdues
De ce bonheur nouveau saupoudrant d’or nos yeux
Et ce sentiment vif d’être pareils aux dieux
Commentaires
merci aussi à toi Adyne!
C'est trop d'honneur! merci Marie-Josèphe!
magnifique ce poème associé à une peinture perlée : bravo Claude le talentueux
Avoir deux dons, quel plaisir!, je suis admirative.
Bravo Claude.
Bonne soirée.
Amicalement.
Adyne
je me relis et... enfin,quand je dis "clochers",il faut souligner que sa collégiale Ste Waudru,n'en a curieusement pas...
Merci Adyne!
Très beau poème d'amour dédié à votre femme, dont le portrait est très réussi.
Félicitations.
Adyne
petite précision: ce poème a été écrit à Mons célèbre par son beffroi et ses clochers...
Et merci d'avoir partagé!
Merci pour le partage !
Un beau moment de poésie...