Les toits des dunes, le lendemain de nos vies,
seront toujours présents.
Leurs lignes, de notre vivant, nous les apprécions.
L’été, nos pieds s’enfoncent dans le sable chaud.
Bientôt les nuits apparaissent, étoilées.
La quiétude tu recherches.
Tu sèmes les graines dans les jardins.
C’est comme si la pluie et le vent se lovaient
dans l’espace des rayons solaires ;
Nous voyons défiler le printemps, neige fondue, tempêtes ou canicules.
N’en déplaise aux intempéries, abrités dans nos demeures,
nous prenons notre crayon pour arpenter les pages d’un grand cahier,
puis nous lisons avec simplicité quelques livres bien choisis.
Julien Boulier le 02 avril 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3436509011
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