Regardez ces fleurs coupées.
L’été est encore dans l’ombre.
Les nuages défilent.
Imagine nos forêts.
Dans cette maison
où l’on peut lire à côté de la cheminée,
les yeux d’un chat,
proches de la faible lueur,
promènent leur regard
toute la matinée.
Comme un oiseau,
avec la vue sur notre soleil.
Julien Boulier le 18 mars 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3435964811
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