février 2013 billets (167)

Propos

À quelle époque vivons-nous? Les crimes y abondent,

On en a chaque jour la preuve sur les ondes.

Spectateurs atterrés on essaie d'oublier,

Heureux de n'être pas aux victimes liés.

Des hommes vaniteux s'égarent quelques fois.

Exaltés, éprouvant de…

Recherches permanentes dans cet espace remplit d’impermanences

Ou le temps dissous les bribes de nos pensées parcours semés d’une multitude…

Avec un grand désir d'accomplir des miracles

Et le constat frustrant de bien trop de débâcles!

Avec beaucoup de pudeur et de discernement

Et puis aussi la peur de se perdre dans l'instant!

Avec une certaine force et tellement de faiblesse...

Et cet amour manquant dont on crie la joliesse!

Avec l'envie de vivre et puis le désespoir...

Et tout ce qui chemine et qu'on ne veut pas voir!

Avec sérénité qu'on cherche à…

Face à la montée en puissance d’internet et de tous les moyens de communication modernes, la lecture de livres a-t-elle encore un avenir ?  La réponse massive est 100 fois OUI!…

J’ai reçu ta lettre ma mère

C’était le mois d’avril

Je lisais tes mots à haute voix

Sur les trottoirs d’horizon

Et sur l’ample ciel



En fait, j’étais en exil

Et seuls tes mots

Me tenaient compagnie

Je pensais à toi,

Et au livre dans lequel,

Tu m’as appris ton patois



Je le porte encore dans mon cœur

Et je l’ai appris par cœur



Est-ce vrai que ;

Le chagrin est le linceul des exilés

Est-ce…

La forêt mãrtzichor*

       Antonia Iliescu

Un mãrtzichor bizarre surgit de la toile web

La forêt moite se cache troublée, timide, féconde,

Sous des laiteuses silhouettes et dans les cornes des cerfs

De verdâtres couleurs se taillent une place dans l’onde.

Tu m’as fait comme cadeau ce printemps enneigé

Avec son monde à lui, silencieuse bourrasque ;

Des chants de roses pétales et des feuilles…

C’est une heureuse  reprise. L’année dernière Jean Vilar affichait complet. Et on le comprend. Malgré les affiches criardes, c’est beau et succulent comme, Mmmm ! … de la belle nouvelle cuisine. Les plats se succèdent  sur le plateau devant trois immenses  paravents japonais lumineux qui évoquent le  bureau d’astronomie à droite, le salon au centre et la salle à manger à gauche. Quelques meubles…

Ô le raffinement du temps des belles dames

Et des messieurs galants préoccupés de l’âme,

Du charme de l’esprit et de celui du corps.

Ils savaient  les louer, en merveilleux accords.

...

Libertins, moralistes, philosophes, amoureux,

N’étaient préoccupés surtout que d’être heureux.

La liberté hélas est…

• 
• Matthieu Baumier, « Le silence des pierres », Le Nouvel Athanor, Paris, 1913, 92 pages, 15 Euros.

Au fil des ans par les différents genres qu’il aborde Matthieu Baumier crée le « poème de la pensée ». Philosophe mais surtout écrivain il descend au plus profond de l‘aventure poétique-existentielle.…

Vivre.

Intensément.

Se battre.

Résister.

Combattre.

Y croire encore.

Essayer.

Encore et encore.…

Chers membres,

Le site vit ! 

Il ne se contente pas de nos échanges artistiques, culturels, philosophiques !!…

Solitaire, dans le silence,

Le peintre crée pour son plaisir.

Le poète essaie de saisir

Des instants de son existence.

Talent et sensibilité,

Intelligence, savoir-faire,

Dans une indicible lumière,

Apparaissent charme et beauté.…

Si tu frappes un enfant, si tu bats une femme, si tu brises un homme, ne lui demande jamais plus tard comment il se porte ! 
Je doute qu'il puisse encore te répondre. A moins qu'il ne te pardonne mais ses cicatrices seront présentes à jamais...

Quand je traversais

La montagne

Je ne me croyais pas 

Penser à toi

Je te regardais sans

Ta couronne de règne,

Tu te cachais derrière

Un amas de bois

Qui t’as emmené là?

Dis-moi, dis-moi !

Est ce l’amour

Qui t’a conduit,

Qui t’a poussé

A transgresser la…

En deux heures de train

je repasse le film de ma vie

Deux minutes par année en moyenne

Une demi-heure pour l'enfance

une autre pour la prison

L'amour, les livres, l'errance

se partagent le reste

La main de ma compagne

fond peu à peu dans la mienne

et sa tête sur mon épaule

est aussi légère qu'une colombe

A notre arrivée

j'aurai la cinquantaine

et il me restera à vivre…

Comme si la vie a deux ailles

L’une du mal et l’autre 

De la souffrance



Le temps perd 

Son équilibre 

Et trébuche dans les virgules 

De la peine

Et tu vois le monde bouillonne

Comme le chaudron



Je t’attendrai 

Sur le chemin d’espoir

Même avec 

Ce cri monotone

Qui serre les sentiments



Même…

Mes amis s’étant éloignés,

Je m’étais installée, seulette

Dans, la sérénité parfaite,

Jardin des souvenirs soignés.

Je n’aurais pu imaginer

De nouvelles et riches rencontres.

Me sentant lasse, j’étais contre

Tout ce qui n’est pas spontané.…

vraiment magnifique et les aquarelles sont superbes, moi je débute (un peu de complexe) mais les vôtres sont merveilleuses - la chanson me plaît également

bonne chance pour la future exposition j'espère pouvoir aller à Spa mais il faudrait savoir où l'exposition sera ?

merci encore

Marcelle