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Publications de Angelo brenez (137)

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aimer

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De ces corps enlacés,

De cet amour mutilé,

Surgissent des chimères,

S’envolent, éphémères,

Sans aucune raison,

Par delà l’horizon.

 

Elles se rassemblent

Virevoltent, tremblent,

Ne voulant pas mourir

Rejetant le mot, finir,

Ne voulant disparaître,

En espérant renaître

 

Est-ce possible ?

Est-ce plausible ?

Et s’éteint, la flamme

Sans aucun drame,

Ce n’était pas raison

Rien qu’une passion !

 

Voilà d’autres chimères,

Sans doute éphémères,

Repoussant la raison,

Instaurant la passion

Et ces corps enlacés

Revivent ce mot, aimer !

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mes fantômes

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Je voudrais que le beau temps revienne.

Je voudrais moins d’incertitude.

Je voudrais pourtant y croire.

Je voudrais fuir ces orages.

 

Le voudrais-je vraiment ?

 

Je voudrais que vous fuyiez mes rêves.

Je voudrais que le temps les emporte.

Je voudrais qu’ils s’échappent de ma mémoire.

Je voudrais ne plus y penser.

 

Le voudrais-je vraiment ?

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surréalisme

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Pris dans cette tourmente,

De nos folies troublantes,

Sans être pour cela surréalistes,

Ni non plus en devenir altruistes.

Certains trouverons une réponse,

Sans qu’aucune ne s’annonce.

Plein d’entre eux vont se tromper,

Le sens de nos rêves est caché.

Il est vrai que souvent le drap

Est le support de leurs états,

On y cache certaines envies,

Accumulées au fil de la vie.

Plein de fantasmes sont dissimulés,

De richesses, savoirs, sexualités.

Mais on ne se voile pas la face,

Puisque quoi que l’on fasse

On reconnaîtra, là, Méphisto,

Sans prononcer un seul mot,

On verra aussi, Diabliczka,

Et d’autres, Angelo et Anna. 

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Voilà encore de quoi flatter mon orgueil!

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La préface de mon second roman à venir, est écrit par Fanou Fabienne directrice office Culturel, Sarcelles.

Rencontrer et lire Angelo Brenez, c’est pareil, on pétille, on s’émeut, on réfléchit, on sourit, on vibre.
C’est un homme passionné, amoureux des femmes, des arts, du plaisir de la vie.
Dans ses écrits, on retrouve tout cela, la passion, l’art, la tendresse, la gourmandise, les plaisirs des sens et cet amour sans pareil pour les femmes.
Des femmes, il y en a plusieurs dans ce roman mais il y a aussi la guerre, des hommes, des jalousies, des trahisons et de la peinture.
Il y a aussi le parcours d’un homme, de l’adolescence à la maturité, d’une femme, de l’insouciance à la maternité et l’influence de leurs choix sur ceux qui auront le bonheur ou le malheur de les croiser !

Et Bien sûr, c'est ma muse et compagne qui a inspiré la couverture, Anna Rembas

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je flatte mon ego

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Je vais être un peu orgueilleux!
Voilà la préface de ce premier roman, faite par un ami, écrivain français,Michel Benoit; Roman qui sera édité sous peu!

On connaissait Brenez par l’originalité et la qualité de ses peintures, toutes dédiées à la femme, éternelle référence qui accompagne l’artiste depuis toujours. Ainsi, Angelo, peintre, nous avait habitués il y a quelques temps à ce fil rouge qui reliait ses fantasmes à ses modèles. Aujourd’hui, il nous présente Monsieur Ange, un diable d’homme, sorti tout droit de ses délires, évoluant dans la plus pure tradition libertine et érotique d’une époque haute en couleurs. 
A cette occasion, Angelo dégaine allègrement sa plume de l’écrin, comme Monsieur Ange sortirait son épée du fourreau pour mieux caresser les atouts de la femme qu’il aimera jusqu’à son dernier souffle. Il nous dessine dans ce récit des images fortes, nous enveloppe d’une peinture où il utilise tantôt la gouache, épaisse, ou tantôt l’huile, plus fluide, selon l’humeur et le récit. Un roman à la fois tendre, romantique, mais aussi dramatique et violent où l’imagination du lecteur est mise à contribution à chaque instant. De Côme à Venise, de la révolution à Bonaparte, on va suivre la petite Marie, née de l’imagination de l’auteur, évoluée vers sa destinée en compagnie de ce drôle d’ange-gardien que Sade n’aurait pas renié.
Brenez, à l’image du Maître de l’univers avait imaginé la femme au sixième jour. C’est au septième qu’Angelo créa Monsieur Ange !

Michel Benoit

Evidemment, c'est ma muse et compagne, Anna Rembas et votre ami facebook, Angelo Brenez qui emprunte un dessin de Mettons nous en scène pour la couverture.

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roses noires, folies d'un soir

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Dédié à nos modèles qui osent !    Dedykowane do naszych modeli, którzy odważą!

Nous vous offrons ces roses, roses !   Oferujemy Państwu te róże, róże!

 

Roses noires,   Czarne róże,

Folies d’un soir !   Zwariownay wieczor

 

Elle dévoile son corps,   Ona pokazuje jej ciało

Sans aucun remord,    Bez wyrzutów sumienia,

Vous serez courtisée    Będziesz zabiegał o nie

Mais sans être aimée !   Ale nie bedziesz kochany!

Il y aura des idiots,     Zostaniesz  idiotà

C’est le juste mot      To jest właściwe słowo

Pour les décrire   Dlatych co zechcà cie opisac

Qui vont  vous écrire    Majàc na uwadze

Des propos enflammé   Twojà zapaczywosc

Se croyant désiré.    Wierzàc w twe pozàdanie….

 

Roses noires,   Czarne róże,

Folie d’un soir !   Zwariowany wieczor

 

Pauvre prétentieux,    Biedne, pretensjonalne…..          

Ce n’est là qu’un jeu,    To jest tylko gra,

Car inconsciemment,    To podświadomie

Sans chercher l’amant,   Pragnienie kochanka, 

Sans chercher à nuire,    Nie próbując zranić,

Elle aime vous séduire.   Kocha cię uwodzic….

Ce n’est qu’une femme   Jest to tylko kobietà

Et comme toute femme    I jak wszystkie kobiety

Elle aime être désirée,    Lubià ranic..rozrywac

Sans pour ça, être, baisée !    Ale bez tego ponizania !           

 

Roses d’un soir,    Czarne róże,

Folie d’un soir !    Zwariowany wieczor

 

L’amour c’est autre chose   Miłość to coś innego

Que quelques proses   To cos jak proces

Où vos envies charnelles     Gdzie swoje cielesne pragnienia

Ne sont que sexuelles.    To tylko seksualnym zaspokojeniem

L’amour n’est qu’un mot      Miłość to tylko słowo

Mais c’est un grand mot !     Ale to wielkie słowo!

Il faut oublier vos envies,     Musisz zapomnieć o swoich pragnieniach,

Pour qu’elle soit ravie   Aby być szczęśliwym

Combler vite les siennes,    Pozbàdz sie jego szybko

Pour que son amour, vienne !   By milosc znowu powrocila…..  

 

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avec le temps

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Au fil du temps, une et indivisible, telle est devenue cette union !

Enracinée on ne sait comment, mais elle a prit racine !

Parfois, cette union supporte le temps, ses intempéries ou apprécie ses jours ensoleillés. Union aussi de plusieurs origines, greffées par hasard, la tienne, polonaise, les miennes, italienne, belge, française et celles que je ne connais pas.  

Une union que personne n’aurait pu imaginer, créer et pourtant, elle existe. Au fil du temps, elle se solidifie, ces racines d’un bois tendre se transforment et deviennent celles d’un bois dur. A cause de nos petits grains de folie, de nos complicités, ce bois devient noble, l’art aussi, est un lien fort !

Comme toutes naissances, douloureuses, au fil du temps, la vie s’installe plus sereine, heureuse mais toujours avec un peu de folie ! 

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vampires

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Je m’abreuve de tes folies,

Elles donnent un sens à ma vie.

A force d’aimer, jouir et vivre,

Je suis devenu un vampire.

 

Tu as aimé mes folies,

Elles sont devenues tiennes,

J’ai dégusté tes folies,

Elles sont devenues miennes.

 

Tu t’abreuves de mes folies

Elles donnent un sens à ta vie.

A force d’aimer, jouir et vivre,

Toi aussi, tu es un vampire !

 

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La première cigarette

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Dès ton réveil, tu allumes ta première cigarette, habitude ou besoin ?

Dès ton réveil, il attend sa première caresse, pas par habitude mais par besoin!

Dès ton réveil, par habitude, je me lève et je t’apporte le café au lit , par besoin !

Le café sera bu, la caresse sera faite mais avant tout, tu allumes ta première cigarette.

 

Certains vont dire que ce n’est pas bon la cigarette, mieux vaut donner des caresses, alors, si tu les écoutais, moi, j’en ferais vite une, en disant « Le chien, dégage, va faire du café, voilà ta première caresse ! 

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Renaissance

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N’en déplaise aux médiocres, tu es muse !

Une muse inspire, tu es égérie !

Sortie de la vie banale, sortie de ce cocon qui te contraint, tu apparais au grand jour. Sans artifice, sans paraître, sans autre atout que ta présence, tu es, tu existes !

Tu es née, tes ailes se déploient !

En plus, ici, tu participes, tu donnes tes idées, tu crées le scénario de certains dessins, de certaines peintures, tu dessines des détails, tu en corriges d’autres…

N’en déplaise aux détracteurs, tu es aussi artiste !

Un jour, tu m’as dit enfin avoir fait quelque chose d’important, de… Je ne me souviens plus de ce mot mais je sais que tu en étais fière !

Tu as raison, sois en fière, maintenant toi aussi tu fais partie de ce monde, tu es déjà comme moi, nous sommes des poussières d’étoiles avant peut être d’en devenir une !

Mais, est-ce que nous ne serions déjà pas des étoiles ?

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Les portes du Paradis

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Elles te sont grandes ouvertes, l’escalier qui grimpe vers ces cieux où règne la félicité, surtout la mienne, t’accueille. Chaque marche n’est qu’une ode à ta beauté, à ta grâce. Même en colère, en pleur, avec des larmes traçant des sillons de tristesse, tu es belle !

Certains médisants diront que ce sont les yeux de l’amour qui te voient ainsi et bien qu’il en soit ainsi !

Vêtue, nue, en tenue simple, festive, sensuelle ou érotique, ange ou démon, tu éclaires ma vie. J’ai mon caractère, parfois difficile, tu as le tien presque identique mais tes humeurs passées, tu resplendis.

Tu es mon Paradis !

Mes bras sont ses portes, mes mains sont les clefs pour les ouvrir, mon esprit est le parvis pour t’accueillir, mon cœur est l’entrée vers cet Eden. Il n’y a pas d’or, ni de pierre précieuse dans ce royaume, la félicité est l’unique richesse recherchée.

Princesse de cet Eden du levé au couché du soleil, le soir et la nuit, tu en deviens la Reine, alors, loin du regard des autres, tu es mienne, je suis l’unique, je deviens le Roi de ce royaume, de ce Paradis !

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Mettons-nous en scène

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Au-delà de ce présent vécu, ce passé parfois douloureux, souvent vécu de façon despotique, emmurée par les dogmes des sociétés bien pensantes, avec de temps en temps des bouffées de libertés, la nudité de cette existence, oublions-la !

Là, ce n’est qu’une métaphore ce mot, nudité !

Le rouge, signe de révolution, de liberté, j’aime cette couleur, enveloppe-toi avec !

Signe aussi de danger mais sans comparaison avec ceux vécus, pas de coup, pas de blessure, rien que des mots critiquant notre façon de vivre. Mots dits par des imbéciles, dirigés par ces croyances d’un autre temps !

Nous sommes au vingt et unième siècle, dans un pays épris de liberté, il y a encore par ici, par là, des foyers infestés de ces endoctrinés, même ceux qui hypocritement disent ne plus l’être, ils ne sont pas éternels et la liberté est très contagieuse !

Regardons autour de nous, constatons, aucun despotisme ne dure !

 

Tu es ma muse, mon égérie et n’en déplaise, tu le seras encore pour longtemps.

Ta nudité n’est plus ici une métaphore, maintenant elle exploitée pour mieux t’encenser, te glorifier, te mettre sur un piédestal !

J’ai encore plein de rêves à poser à côté des tiens, sur le papier, la toile.

Nous allons continuer cette idée commune de réaliser, ce « Je nous mets en scène » que je voudrais rebaptiser : « Mettons-nous en scène ! » par Diabliczka et Méphisto !

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Sur les marches de l'oubli

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Le temps efface tant de choses,

Banales, gaies ou moroses,

Même tes ailes changent

Qu’elles soient de démon ou d’ange,

Elles perdent souvent des plumes,

Ces souvenirs enfuis dans la brume.

Ils resurgissent bien souvent,

Ici et là au fil du temps

Mais seront effacés ces mauvais souvenirs,

Ceux qui t’empêchent de vivre !

Écoute les paroles de ton Méphisto,

Ce ne sont pas là de simples mots,

Sur tes ailes repousseront des plumes,

Tu t’éloigneras de cette foutue brume,

Et bien sûr, tu resteras toujours Anna

Mais de nouveau, tu seras aussi, Diabliczka ! 

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ma tête est remplie de Toi

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Tu es partout où je suis, sous le soleil, la pluie, dans une gare, un train, à la terrasse d’un bistrot, au comptoir d’un boucher, nul endroit ne sait faire oublier ta présence. Pas de corps mais dans mon esprit, tu es toujours présente.

C’est un réservoir incommensurable de tes gestes, tes humeurs, tes joies, tes peines… Tes rires résonnent encore après plusieurs jours, tes pleurs m’attristent après des semaines.

Ma tête est remplie de Toi !

 

Parfois, une image s’envole, remplacée par une autre mais ce n’est qu’illusion, elle réapparaît dès qu’on lui laisse une ouverture. Je les laisse aussi s’échapper pour mieux les observer mais elles reprennent vite leur place.

Elles sont casées en ordre, chaque évènement personnel, familial, les rassemble à un endroit et mon esprit les sort afin de mieux me remémorer certains moments.

Ma tête est remplie de Vous !

  

J’avoue en apprécier certains plus que d’autres, nos moments privilégiés !

Ces souvenirs remplis d’ivresse, de tendresse, ceux plus secrets sont là aussi.

Ma tête est remplie de nous !

 

 

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messagers

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Que des milliers de paroles,

Racontent notre vie folle

Qu’aucune ne soit alarmante,

Cela tu peux en abondance,

Discours de tes enfants,

De leur amour envers leur maman.

 

Que s’envolent de tes lèvres,

Mille et un messages prospères

Qu’aucun ne soit médisant,

Envers mon amour existant,

Parle de nos souvenirs

De nos joies passées et à venir.

 

Que ces messagers les emportent,

Les déposent devant toutes les portes,

Que tous expliquent pourquoi,

Je ne sais aimer que toi.

Explique aussi l’amour des tiens,

Chante-le, compose un refrain.

 

Qu’aucun ne soit pas une question,

Demande, nous connaissons la raison

Qu’enfin tu saches combien tu es aimée,

Nous te dirons même, adorée,

Il n’y a pas encore d’expression

Pour décrire toutes nos émotions.

 

Que ces messagers ne s’égarent,

Suivent leur route sans écart

Qu’aucun ne perdent ces dépêches,

Le temps passe et il nous presse

De faire réellement connaître,

À tous, combien tu es superbe !

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tu es toujours

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Tu es toujours

Plein de palais historiques
Sous des prisons pathétiques,
De place mystérieuses,
L’or des églises bienheureuses
Jusque carnaval sensuel
Imagine passions irréelles.

Tu étais Nymphe sur cette toile, elle est sur un autre mur, une autre cimaise mais tu l’aimais particulièrement alors, j’ai essayé de combler ce vide. Ai-je réussi ?
Totalement différente, pour le décor, pour le reste, tu es toujours ma polonaise, la plus belle nymphe à mes yeux. 

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Plein de canaux romantiques
Sous des passerelles nostalgiques,
De promenades merveilleuses
Jusque gondoliers éternels,
Imaginent Venise la belle.

Venise pâlit en te voyant, la belle, c’est d’abord toi !

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la vérité

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Il y a des choses qu’on dit,

Vérités ou mépris,

Je suis ce charognard,

Gentil, fier et gaillard,

Rempli de jalousie,

Envahissant ta vie.

Dans notre alliance,

Quoiqu’on en pense,

Tes charmes envoûtants,

Je me permets pourtant,

De souvent les rêver,

Et sur la toile les dévoiler.

Que tu sois en extase,

Des mots, des phrases,

 De nos rêves posés,

Sur la toile, le papier,

Je te veux magnifiée,

Belle, et même enviée.

Il y a une seule vérité,

C’est ma façon d’aimer !

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elle s'abreuve du sang des roses

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 Chaque fin de semaine,

Il faut que j’en amène,

Six, dix, vingt, cent

Je joue de ses sentiments !

Je vois alors son sourire,

Je frémi et je l’admire.

Avide, elle les consomme,

Les plaçant, elle fredonne,

Elle les prend, les respire,

Presque comme un vampire

C’est un besoin naturel

Et pas de ton pastel,

Car ce rouge sang

Lui semble enivrant.

Elle les trouve jolies,

Soupire, semble ravie

La fleur la plus belle,

Pourtant, c’est elle !

 

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rêverie

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Le soir, j’admire quand tu te concentres, la lecture te rend belle. Tu n’en n’as nul besoin pour l’être mais la moindre excuse pour te dire que tu l’es est la bienvenue. Je ne comprends pas l’écriture de ton pays dans ces livres, parfois tu résumes et quelquefois tu me dis cela intraduisible. J’avoue, Anna que j’aime ces moments de silence, je t’admire, je suis un vieux fou et si tu es en tenue de nuit, je savoure ces instants !

Plongée dans tes rêves, tu t’imagines sans doute être l’héroïne de ce roman et je prie pour que ce soit un roman doux, pour qu’une fois ce livre déposé, tes rêves soient à l’image du scénario.

Le contraire m’empêcherait de dormir !

Livre d’histoire, roman historique, érotique, de science réelle ou de fiction, d’aventure ou autre, tu es souvent plongée sur ces pages écrites ; je crois que tu as besoin ce ça, pour t’évader de ce monde.

Être érudite en plus d’être belle, comment ne pas aimer même si en ces moments-là, tu n’es plus Diabliczka, ni moi, Méphisto, nous sommes Anna et Angelo !

 

 

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