Le réseau des Arts et des Lettres en Belgique et dans la diaspora francophone
N.-B: Je précise que l'administrateur du Groupe Théâtre au sein du réseau Arts et Lettres est Deashelle qui en assure la gestion et la politique éditoriale.
Robert Paul, Fondateur et administrateur général du réseau Arts et Lettres
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Les pièces à aller voir cette semaine: http://www.lesoir.be/129199/article/2017-12-13/les-pieces-de-theatr...
LA DEMANDE DE CONTRAT PROGRAMME DU FESTIVAL BRUXELLONS! EST REFUSEE...
La liberté de la Ministre Alda Greoli est évidemment totale de décider à qui elle attribue des subventions. Mais dans cette démarche ("Bouger les lignes") qui se voulait objective, nous sommes interpelés par les critères par lesquels la Ministre justifie son choix de ne nous attribuer aucune subvention parmi les 93 millions d'euros qu'elle a distribué.
Par exemple:
> la faiblesse de l'exigence artistique;
> le manque d'attention portée à nos artistes de la Communauté française;
> l'absence quasi complète de liens avec les artistes issus de la diversité;
> cette structure est composée pour l'essentiel d'une équipe de bénévoles
Attirant chaque été 27.000 spectateurs (et ce en à peine deux mois) à Molenbeek-Saint-Jean devant des spectacles issus exclusivement de notre FWB, nous ne pouvons accepter ces erreurs de jugement. .
Nous avons longuement répondu à la Ministre et lui avons demandé un rendez-vous.
Nous aurons peut-être besoin de vous, fidèles spectateurs...
Fonctionnant en toute transparence, vous trouverez ici, copie de tous les courriers: http://www.bruxellons.be/NoSubvention.php
"Je savais en commençant ce métier que ça allait être difficile d’en vivre. Mes deux parents le pratiquant, je me suis assez tôt rendue compte que je n’allais pas pouvoir « m’assurer un avenir fiancèrent stable », m’acheter une maison, ou encore pouvoir partir en vacance chaque année, mais peu importe… Je m’étais préparée à la galère mais là, franchement, cela dépasse tous les scénarios catastrophes que je m’étais fait. Je ne m’attendais quand même pas à me sentir à ce point là insultée
Je termine mes études en juin 2015. J’ai l’immense chance de travailler presque tout le temps, de vivre des projets merveilleux, à la fois en tant que metteuse en scène, assistante ou comédienne. Je jongle entre mes contrats dans le théâtre et mon boulot « alimentaire » en me disant que bientôt, je pourrais demander le chômage et même le statut d’artiste, qui me permettrait à plus long terme de ne pas devoir travailler sur mes projets en rentrant du resto et même (quel confort !) de ne pas me prendre la douche froide quotidienne de passer du plateau à derrière un bar à servir des cocktails.
Mais voilà, j’ai toutefois envie et même besoin de vivre une expérience que beaucoup de femme rêve de vivre, celle d’être mère. Après une année bien chargée (je termine un projet énorme sur lequel j’ai travaillé deux ans pour un salaire dérisoire), je tombe enceinte. J’accueille cette nouvelle avec énormément de joie et de bonheur.
Je commence les démarches administratives pour demander le chômage, et j’arrive à avoir (par je ne sais quel miracle) le nombre de jours nécessaire pour prétendre à cette aide, j’aimerais pouvoir dire, à ce statut légitime d’un travailleur intermittent du spectacle, mais cette appellation est visiblement désuète à l’heure qu’il est.
Contrat et C4 en règle dans les mains, je me présente à mon syndicat et l’on me dit que tout les dossiers comprenants des contrats à la tâche sont refusés par l’ONEM depuis quelques semaines et que personne ne comprend pourquoi. Je ne suis évidemment pas la seule dans ce cas là, toutes les personnes ayant rendu leur dossier en même temps que moi se font baiser (je ne trouve pas terme moins vulgaire, excusez moi.)
Le seul « avantage » qu’avait les artistes pour obtenir une mini stabilité dans le secteur n’existe plus, et cela n’est même pas lié à un changement de loi mais bien à une interprétation arbitraire que l’ONEM se permet de faire concernant les dossiers de chômage des artistes.
Je suis alors enceinte de 7 mois, mon contrat dans l’horeca a pris fin, je ne suis ni salariée, ni chômeuse. Je n’ai donc ni droit aux allocations, ni droit à un congé maternité de ma mutuelle, il me reste le CPAS. Je me retrouve dans leur bureau bondé, entourée de gens qui sont dans une situation encore bien plus précaire que la mienne et j’ai la gerbe.
J’entame les démarches, j’ai déjà versé pas mal de larme de haine et de colère et on me dit que malheureusement, je suis cohabitante et que mon compagnon gagne trop ( moins de 1000 euros par mois) pour pouvoir prétendre à une aide du CPAS.
Depuis la sortie de mes études en juin 2015, il y a 5 petits mois durant lesquels je n’étais pas sous contrat et je n’ai droit à strictement rien. On me dit sans gène : « Si vous n’étiez pas sûre d’assurer votre avenir financièrement, il ne fallait peut-être pas faire un enfant maintenant », j’aurais préféré me faire battre à mort, voir cracher au visage que d’entendre une telle absurdité.
Au delà de ma situation que je viens d’exposer vulgairement, j’enrage aujourd’hui de constater que dans l'un pays les plus riche d’Europe, qui se dit démocratique, bénéficiant d’un système social, nous nous retrouvions, artistes, mais surtout jeunes travailleurs, dans une situation présentant si peu d’issue. Je constate, en plus de toutes les restrictions concernant notre secteur, que la répartition des richesses s’applique, comme dans n’importe quel autre domaine au final, toujours de la même manière, plus tu as d’argent plus tu es susceptible d’en recevoir, moins tu en as, moins tu en auras. Des compagnies qui existent depuis plus de 30 ans et qui se voient dans une incapacité de subvenir à leur besoins en passant par celles qui ne sont même pas reconduite, cela devient difficile de continuer à avoir envie de créer, de s’investir, d’imaginer, de s’engager dans ce petit milieu qu’est le théâtre belge francophone.
Mais rassurez-vous, en aucun cas je baisserai les bras, je me battrai comme une chienne pour avoir ce à quoi j’ai droit." Lara Ceulemans.
JE SUIS DECU, EN COLERE ET PROFONDEMENT INQUIET.
QUAND SERONS-NOUS ENTENDUS ?
IL Y A AUJOURD'HUI PRES DE TRENTE CINQ ANS QUE JE FAIS DU THEATRE DANS CETTE COMMUNAUTE. PRES DE TRENTE ANS QUE J'ENSEIGNE EN ECOLE SUPERIEURE DES ARTS. PLUS DE TRENTE ANS QUE J'ESSAYE DE COMPRENDRE LA LOGIQUE DE LA POLITIQUE CULTURELLE DE CE PAYS. PLUS DE TRENTE ANS ENCORE QU'INLASSABLEMENT JE JE PARTICIPE A TOUS LES COMBATS COLLECTIFS DU SECTEUR. JE SUIS OBLIGE DECONSTATER QUE LES DYSFONCTIONNEMENTS DE LA POLITIQUE CULTURELLE DE CETTE COMMUNAUTE PROVIENNENT ESSENTIELLEMENT, ET C'EST TRAGIQUE, DES DIVISIONS D'UN SECTEUR QUI SE REFUSE A SE SOLIDARISER SUR L'ESSENTIEL : UN SOUTIEN RESOLU A CEUX SANS LESQUELS RIEN, ABSOLUMENT RIEN, N'EST POSSIBLE : LES ARTISTES. QUE TOUT LE MONDE SE RASSURE : JE FINIRAI PAR MOURIR. TOUT LE MONDE Y PASSE. JE CROIS QUE MA NECROLOGIE SERA LONGUE. ET SANS DOUTE AVANTAGEUSE. JE VIS DANS UN PAYS OU ON AIME LES ARTISTES ... MORTS. MAIS, POUR REPRENDRE LES MOTS DE Lara Ceulemans, DONT JE PUBLIE LE POST CI-DESSOUS :
" RASSUREZ-VOUS, EN AUCUN CAS JE NE BAISSERAI LES BRAS, JE ME BATTRAI COMME UN(E) CHIEN(NE) POUR AVOIR CE A QUOI J'AI DROIT. "L'ARTISTE AU CENTRE, QU'ILS DISAIENT, ET PAS SEULEMENT LA MINISTRE, HEIN ! JE NE SUPPORTE PLUS CETTE LACHETE QUI CONSISTE, POUR LES FORTS, A SE DEDOUANER SYSTEMATIQUEMENT DE LEUR INCAPACITE A LA SOLIDARITE SUR LE POLITIQUE. JE N'AI PLUS ENVIE DE RIRE.
IL Y A DE MULTIPLES MANIERES DE SOUTENIR LES ARTISTES.
1.
BIEN SÛR EN REVALORISANT L'ENVELOPPE DEVOLUE A LA CULTURE ET A L'ENSEIGNEMENT. DANS UN MONDE DIVISE OU LES DEMOCRATIES VACILLENT, IL EST EVIDENT QU'UN REINVESTISSEMENT MASSIF DANS CES MATIERES EST UNE QUESTION DE SURVIE. REMARQUEZ BIEN QUE JE NE PARLE PAS D'INSERTION PROFESSIONNELLE. JE PARLE DE FORMATION CONTINUE DU CITOYEN. CA NE DEVRAIT PAS AVOIR DE PRIX POUR UNE DEMOCRATIE QUI CROIT ENCORE EN ELLE-MÊME. POURTANT... MAIS SUR CE POINT, LE SECTEUR - CONSCIENT DE SES INTERÊTS, TOUT DE MÊME - SERA TOUJOURS SOLIDAIRE.
2.
EN SE RAPPELANT QUE LES ARTISTES SONT, DANS LEUR IMMENSE MAJORITE, ET, POUR AINSI DIRE "STRUCTURELLEMENT", DES INTERMITTENTS. C'EST LA QUE CA COMMENCE A ETRE PLUS COMPLIQUE A FAIRE ENTENDRE A TOUT LE MONDE. AUX SYNDICATS, PAR EXEMPLE ... ET, PAR CONSEQUENTS, AUX STRUCTURES LOURDES QUI ONT EN LEUR SEIN UNE DELEGATION. A LA GAUCHE, QUI LES SOUTIENT, ET QUI EST PARFOIS RETICENTE A AFFRONTER LA REALITE TELLE QU'ELLE EST. POURQUOI CE BLOCAGE DURABLE SUR LE STATUT DES ARTISTES QUI RESSEMBLE DECIDEMENT A L'ARLESIENNE DE DAUDET ? POSER LA QUESTION CLAIREMENT, C'EST SE DONNER LES MOYENS DE COMMENCER A Y REPONDRE.
2.
AUGMENTER LES BUDGETS DITS FACULTATIFS. C'EST, FIGUREZ-VOUS, AINSI QU'ON QUALIFIE LES MOYENS ATTRIBUES AUX AIDES PONCTUELLES. FACULTATIFS ??? ALORS QUE LES SAISONS DE TOUS LES THEATRES SONT REMPLIES DE CREATIONS QUI NE VERRAIENT PAS LE JOUR SANS ELLES. LA CREATION EST FACULTATIVE DANS LES BUDGETS DE LA CULTURE. C'EST UNE SIMPLE VARIABLE D'AJUSTEMENT. NORMAL, LES ARTISTES SONT INTERMITTENTS... SUPPRIMER L'AIDE A LA CREATION N'AMPUTE RIEN DE STRUCTUREL. LA REPONSE EST TOUJOURS LA MÊME. FAITES EN MOINS... MAUVAISE FOI CRASSE SI L'ON VEUT BIEN SE RAPPELER LE POINT 2. LES ARTISTES VIVENT DE LEURS PROJETS. LES STRUCTURES SURVIVENT SANS EUX. IL Y A QUATRE ANS NOUS ETIONS TOUS DANS LA RUE, DERRIERE CONSEILDEAD, POUR DEFENDRE LE BUDGET DU CONSEIL DE L'AIDE AUX PROJETS THEATRAUX. LES MANIFESTANTS ETAIENT LOIN D'ÊTRE AUSSI NOMBREUX LORS DE LA DERNIERE TENTATIVE OPPORTUNISTE DE RASSEMBLEMENT DU SECTEUR AUTOUR DE "LA DEFENSE DE L'EMPLOI DE L'EMPLOI ARTISTIQUE..." LA ENCORE, SE POSER LA QUESTION DU POURQUOI ... DANS MA FOLLE JEUNESSE, LE CONSEIL D'AIDE AUX PROJETS THEATRAUX S'APPELAIT LA COMISSION DU JEUNE THEATRE... IL FAUT MESURER PLEINEMENT LA SIGNIFICATION PROFONDE DE CE CHANGEMENT DE NOM POUR COMPRENDRE CE QUI A ETE SACRIFIE DANS L'AFFAIRE. AUJOURD'HUI TOUTES LES GENERATIONS D'ARTISTES ONT RECOURS A CES AIDES PONCTUELLES. JE M'APPRÊTE, AVEC UNE RAGE QUE JE PEUX DE MOINS EN MOINS CONTENIR, A Y AVOIR A NOUVEAU RECOURS MOI-MÊME. RAGE MOTIVEE AVANT TOUT PAR LE SENTIMENT PROFOND D'UNE INJUSTICE VIS A VIS DES GENERATION D'ARTISTES QUI ME SUIVENT. DIVISER POUR REGNER ...
MAIS QUI REGNE ? DANS LE NOUVEAU "PAYSAGE", 30% DES OPERATEURS RECOLTENT A EUX SEULS 70% DES MOYENS ATTRIBUES A LA CULTURE PAR LES POUVOIRS PUBLICS. NOTRE SECTEUR EST A L'IMAGE DU MONDE : DE PLUS EN PLUS INEGALITAIRE.
IL Y A UN TROISIEME MOYEN DE SOUTENIR REELLEMENT LES ARTISTES ET LEUR EMPLOI.
3.
D'APRES LES RENSEIGNEMENTS DONT NOUS DISPOSONS A LA CCTA, L'ENSEMBLE DES COMPAGNIES RECOLTENT, A LEUR "EXAMEN" CONTRAT PROGRAMMATIQUE DE TRES BONNE NOTES A LA CASE EMPLOI ARTISTIQUE. LA MAJORITES DES DEPOSITAIRES DE LA GRANDE PART DES MOYENS PUBLICS SEMBLENT RECEVOIR, SUR LE MÊME SUJET, UNE NOTE PLUTÔT MITIJEE. CELA N'ETONNERA QUE CEUX QUI N'ONT PAS PRIS LE TEMPS DE SE PENCHER SUR LE FONCTIONNEMENT REEL DU SECTEUR. LES COMPAGNIES, EN PLUS D'ÊTRE LE MOTEUR DE LA CREATIVITE ET DE LA DIVERSITE DE NOTRE PAYSAGE CULTUREL, PORTENT LE SECTEUR A BOUT DE BRAS EN EN ETANT LES PREMIERS AGENTS DE DIFFUSION INTERNATIONALE. ELLES SONT SCANDALEUSEMENT SOUS FINANCEES.
DANS LE DERNIER BUDGET DE CREATION DE NOTRE COMPAGNIE, UNE DES INSTITUTIONS COPRODUCTRICE, DONT LA SUBVENTION EST PLUS DE TRENTE CINQ FOIS SUPERIEURE A LA NOTRE, INVESTIT MOINS D'UN QUART DU MONTANT QUE NOUS INVESTISSONS NOUS-MÊMES, QUI EQUIVAUT, LUI, A 90% DE NOTRE BUDGET DE FONCTIONNEMENT ... CQFD.
MAIS CELA NOUS LE SAVONS TOUS.
POURQUOI, DES LORS, LES CHOSES RESTENT-ELLES EN L'ETAT ? POURQUOI SI PEU DE MANIFESTATION DE SOLIDARITE AUTOUR DU SOUS FINANCEMENT DES COMPAGNIES DE THEATRE POUR ADULTE, DE THEATRE JEUNE PUBLIC, DE DANSE, DE CIRQUE, DE THEATRE ACTION ?
POURQUOI LES JOURNAUX NATIONAUX NE SE SONT-ILS MÊME PAS DONNE LA PEINE DE DIFFUSER LE COMMUNIQUE SOLIDAIRE DE LA CCTA QUI REPRESENTE POUR RAPPEL 77 COMPAGNIE DE CREATION DANS LE DOMAINE DU THEATRE POUR ADULTE ?
QUAND SERONS-NOUS ENTENDUS ?
SANS DOUTE QUAND NOUS SERONS CAPABLES DE NOUS ENTENDRE SUR L'ESSENTIEL.
EN ATTENDANT, IL Y AURA DES MORTS...
ET, FORT HEUREUSEMENT POUR TOUT LE MONDE, DES SURVIVANTS. MAIS A QUEL PRIX ?
C'EST INOUI. JE POURRAIS REPRENDRE PRESQUE MOT POUR MOT A MON COMPTE LE CRI DE RAGE DE Lara Ceulemans, QUE J'EMBRASSE.
COMME LE DIRAIT UN AMI JOURNALISTE : DANS QUEL MONDE ON VIT ?
En dépit de lois qu'il a lui-même soutenues, le Ministre de l'Economie Kris Peeters s'attaque à nos droits. Baisse de la rémunération équitable pour les musiciens, suppression d'une rémunération équitable et des droits de câbles pour les acteurs: Kris Peeters met les artistes à poil >>>www.artistesapoil.be
Ainsi, force est de le constater, notre politique culturelle est à l’image de ce monde, un fromage financier qui est divisé de manière inique...
http://plus.lesoir.be/127832/article/2017-12-05/les-laisses-pour-co...
Une parole belle et juste de celle qui inventa la Balsamine et l'accompagne aujourd'hui encore...https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9%C3%A2tre_de_La_Balsamine
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