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administrateur théâtres
Commentaire de Deashelle le 23 février 2022 à 22:08


administrateur théâtres
Commentaire de Deashelle le 22 février 2022 à 16:34

Une musique éternelle en hommage au fondateur de ce Réseau


administrateur théâtres
Commentaire de Deashelle le 22 février 2022 à 15:35

administrateur théâtres
Commentaire de Deashelle le 22 février 2022 à 15:26

Ce soir là …17 février 2022 à Rixensart

J’étais envahie et par la paix et par la perte… Trois invisibles personnes disparues et mille regrets…

La messe en si bémol de Jean-Sébastien Bach, une de ces co-incidences si Absolument mystérieuses…

Extrait: 

Et tout de suite les premières notes du comme coup de tonnerre  sur  une matière musicale chatoyante et une intervention  vigoureuse  du ténor. L’entrée en scène des deux sopranos verra briller de beaux timbres et de belles tenues de notes. Ensuite ce sont des  violons printaniers qui relaient la prière au chœur d’hommes, rejoints  très vite   par celui des femmes,  dans une beauté enveloppante. L’église est pleine à craquer, l’espace est utilisé à son maximum, mais quel déluge de bonheur musical!  Cuivres et percussions introduisent l’allégresse du Gloriadans un flux d’énergie enflammée. Les femmes répandent le pax hominibus bonae voluntatis comme une profonde vague de prière pour la paix. Le sourire de la soprano précède des violons un peu aigrelets, et elle enfile les paroles latines  sans presque respirer. Le public retient son souffle.  C’est visiblement l’énergie du bonheur d’interpréter, de partager,  qui dispense ces superbes sonorités.  Le public  se  sent uni dans la tension musicale et se trouve  inondé de  couleurs.

Dans  cette  première partie du concert,  mettons  également en évidence un magnifique solo de flûte traversière et le duo soprano et ténor, un sombre  qui tollis peccata mundi  du choeur et orchestre qui arrache des larmes  avec des entrelacs de voix qui évoquent   le chant  d’un   monde blessé.  Au cours de la soigneuse et discrète  chorégraphie, un jeu de cache-cache entre le chœur et l’avant-scène ,  survient un remarquable  alto solo sur hautbois d’amour et cordes  avec  le qui sedes at desxteram patris. Le ballet musical n’est pas fini, voilà le solo basse et cor solo avec deux bassons qui signent  le quoniam tu solus sanctus. Enfin le Chœur se  dresse pour un cum spiritu tuo étincelant, presque martial, Onward Christian Soldier … C’est une déferlante qui nettoie le monde de tous ses péchés et accueille la lumière. Oui, un tsunami musical peut être salvateur, dirigé par le tourbillon de l’Esprit. L’émotion de l’assemblée est palpable, traversée par une sorte de suspens.   

Deashelle


administrateur théâtres
Commentaire de Deashelle le 17 janvier 2022 à 15:00

OPÉRA

 La Monnaie SAISON 2021-22

NOS REPRÉSENTATIONS DE CARMEN SONT ANNULÉES
Comme le dit le dicton, the show must go on, mais parfois les obstacles sont tellement nombreux que s’arrêter est la seule option. C’est avec grand regret que nous avons dû décider d’annuler toutes les représentations de Carmen.

Depuis le début de la crise sanitaire en mars 2020, nous avons toujours fait de la santé de notre personnel et de nos artistes une priorité. Aujourd’hui encore, nous voulons limiter le plus possible l’impact de la vague Omicron sur notre organisation. La virulence de ce variant n’a pas épargné notre personnel. Comme dans beaucoup d'autres compagnies, de nombreux membres du personnel et artistes invités étaient absents pour cause de maladie ou de quarantaine. Cette perte de personnel aurait continué à entraver sérieusement les représentations de Carmen.

Initialement, nous avions entretenu l’espoir de pouvoir jouer une partie de la série de représentations de Carmen devant plus de 200 spectateurs. Entre-temps, il est apparu que le prochain comité de consultation a été reporté à une date ultérieure. C’est à cette occasion que devait être discutée la feuille de route qui était en cours de négociation avec le secteur et le gouvernement. Pour cette raison, mais aussi en raison de l’explosion du nombre de contaminations et des prévisions pour les semaines à venir, tout espoir d’une augmentation de la jauge de spectateurs au sein des théâtres a complètement disparu. Jouer les douze représentations prévues de Carmen pour seulement 200 personnes engendrerait une perte financière de 900.000€. De plus, le fait que nous ne puissions vendre que 2 400 tickets au lieu des 13 800 prévus n'aurait pas suffi pour répondre aux attentes du public.

Ces arguments, parmi tant d’autres, ne changent rien au fait que la décision d'annuler toute la série de spectacles a été très difficile à prendre. Après tout, Carmen est l’un des titres les plus mythiques du répertoire, et nous allions l'interpréter dans une production emblématique avec une distribution de grande qualité. Tout cela s'est traduit par un intérêt considérable de la part de notre public. Nous sommes conscients que nous décevons grandement nos abonnés et les nombreux visiteurs occasionnels qui se seraient rendus à la Monnaie pour découvrir pour ce titre spécifique, et nous mettons dès lors tout en œuvre pour assurer la série de représentations de notre coproducteur à Luxembourg. Nous étudions actuellement la possibilité d'une reprise ultérieure à la Monnaie de cette production de Carmen, dont la première a eu lieu en 2017 au Festival d'Aix-en-Provence.

Nous espérons être pleinement de retour pour notre prochain opéra, la nouvelle production d'Il trittico de Puccini, en mars prochain.


administrateur théâtres
Commentaire de Deashelle le 17 janvier 2022 à 13:45

L’Orchestre National de Lille  et son directeur musical Alexandre Bloch invitent l’un des plus talentueux violonistes de sa génération : l’allemand Frank Peter Zimmermann et son Stradivarius de 1711, "Lady Inchiquin". Ensemble, ils interprètent une œuvre chargée d’histoire et ravivée par Yehudi Menuhin : le Concerto pour violon de Schumann. En seconde partie de ce concert de musique romantique allemande, Brahms et sa 2ème Symphonie sont à l’honneur et distillent aux mélomanes un parfum des Alpes autrichiennes ! Dans le cadre de leur saison, l’Orchestre National de Lyon – invité au Nouveau Siècle de Lille en novembre dernier – accueille son homologue des Hauts-de-France. En 1853, Schumann connaît un regain d’inspiration et compose en onze jours un concerto pour violon. A la fin de l’été, le compositeur rencontre en effet le violoniste Joseph Joachim, grand virtuose et futur dédicataire des concertos de Bruch, Brahms et Dvorák. Dans l’allégresse, Schumann écrit à son interprète: “Dites-moi tout ce qui ne vous paraît pas trop difficile, car je vous ai déjà présenté des mets ou au moins des bouchées impossibles. Rayez tout ce qui a le goût de l’inexécutable”. Dans un premier temps, l’enthousiasme prévaut chez sa femme Clara et Joachim lui-même, jusqu’à ce que, sur l’impulsion du nouvel ami de la famille, Brahms, on reporte la création du concerto sine die, Schumann ayant des problèmes psychiques de plus en plus graves jusqu’à sa mort en 1856. Le manuscrit est alors stocké à la bibliothèque de l’État prussien, avec l’interdiction de le publier avant le centenaire de la mort du compositeur en 1956. L’arrivée des nazis au pouvoir précipite l’exhumation : la petite nièce de Joachim, Jelly d’Arányi souhaite interpréter l’oeuvre en public, mais du fait de son origine juive, le pouvoir nazi organise la création le 19 octobre 1933 avec le violoniste “aryen” Georg Kulenkampff, avant que d’Aranyi ne redonne la pièce le lendemain et qu’un certain Yehudi Menuhin n’interprète le concerto aux États-Unis en novembre de cette même année. A la lecture de la partition, Menuhin balaie toutes les critiques passées sur l'œuvre: « Le concerto est un trésor et je suis totalement enchanté. C’est du vrai Schumann », affirmant même qu’il s’agit du “chaînon manquant entre Beethoven et Brahms”. A l’été 1877, Brahms goûte aux délices de Pörtschach, une station balnéaire près de la Wörthersee dans les Alpes Autrichiennes. Le cadre l’enchante : il a loué deux petites chambres d’hôtel, et les mélodies lui viennent si facilement qu’il n’a plus qu’« à se pencher pour les ramasser ». De fait, la Symphonie n°2 est la plus heureuse des symphonies brahmsiennes. Il règne, notamment dans les deuxième et troisième mouvements, une ambiance de villégiature heureuse et bienveillante. Brahms lui-même parlera de son œuvre comme d’une « petite symphonie gaie, tout à fait innocente ». Brahms affirmait à la même époque à son éditeur Simrock : « Je n’ai encore rien écrit d’aussi triste […] : la partition devrait être éditée avec un cadre noir ». C’est toute l’ambigüité de ce chef d’œuvre qui cache sous une perfection classique des tensions intérieures, empreintes de mélancolie. Textes musicologiques – Laurent Vilarem


administrateur théâtres
Commentaire de Deashelle le 17 janvier 2022 à 13:44

BONHEUR ORCHESTRAL

La plus heureuse des symphonies de Brahms.

Jeudi 20 janvier — 20h
Lille – Auditorium du Nouveau Siècle

Vendredi 21 — 20h
Lyon – Auditorium – Orchestre national de Lyon

Au programme:

SCHUMANN
Concerto pour violon

BRAHMS
Symphonie n° 2

Alexandre Bloch Direction
Frank Peter Zimmermann Violon
Orchestre National de Lille

La Symphonie n°2 est la plus heureuse des symphonies de Brahms. À l’été 1877, le compositeur goûte aux charmes d’un paisible lac situé dans les Alpes autrichiennes. Le cadre l’enchante : il a loué deux petites chambres d’hôtel et les mélodies lui viennent si facilement qu’il n’a plus qu’« à se pencher pour les ramasser ». Alexandre Bloch dirige cette symphonie à l’atmosphère si séduisante. En première partie, nous accueillons l’un des plus grands violonistes du monde, Frank Peter Zimmermann, qui interprète le rare Concerto pour violon de Schumann. Le violoniste allemand fait corps avec la partition grâce à une maîtrise technique époustouflante. Un véritable événement !

Commentaire de Ferenc SEBÖK le 24 décembre 2020 à 2:52

"Duo" - Acrylic on cardboard

Commentaire de Ferenc SEBÖK le 24 décembre 2020 à 2:51

Commentaire de Ferenc SEBÖK le 24 décembre 2020 à 2:47

"Master of music" 2004 - Encres sur carton

 
 
 

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