Attentive dans le silence,
Le corps, l'âme et l'esprit en paix,
J'existe en ce matin de mai,
Qui est dépourvu de brillance.
Le corps, l'âme et l'esprit en paix,
Je contemple le ciel immense,
Qui est dépourvu de brillance.
Rien de nouveau n'y apparaît.
Je contemple le ciel immense,
D'un blanc à peine coloré.
Rien de nouveau n'y apparaît.
Ô le charme de la mouvance!
D'un blanc à peine coloré,
Se détachent sans turbulence,
Ô le charme de la mouvance!
Des îlots aux contours dorés.
Se détachent sans turbulence
Et voguent jusqu'à moi, tout près
Des îlots aux contours dorés,
Pleins des saveurs de mon enfance.
11 mai 2017
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